Bon, alors décidemment je lis vos réponses en ce qui concerne une sorte d'"abnégation" des soigneurs, et j'en suis interloquée .
S'ils ont choisi librement d'être soigneurs, c'est parcequ'ils préfèrent soigner plutôt que killer, ou qu'ils trouvent ça utile, mais pas parce qu'ils aiment se faire tuer, ils ne sont pas masos pour autant.
Le seul risque qu'ils ont à prendre, c'est d'être sur le front comme les combattants, plutôt que d'être tranquilles chez eux loin de tout conflit : leurs risques à ce titre doit donc être équivalent à ceux qui combattent, et non supérieurs.
De plus, vous savez bien qu'ils sont "cibles privilégiées" (et oui, je reviens là-dessus), si vous ne me croyez pas, demandez donc aux combattants organisés, lors d'une guérilla, qui ils viseront en premier ...
Par principe ce n'est pas normal qu'ils soient plus fragiles que les guerriers, car s'ils se font tous démolir, qui soignera les guerriers ?
De plus, il existe plusieurs types de résistance : et, croyez moi, d'un point de vue RP, les soigneurs immunitairement parlant, sont obligés d'être bien plus résistants, car sinon, exposés comme ils le sont, ils attraperaient toutes les maladies qui passent, ( qui prolifèrent avec les plaient ouvertes et tous les cadavres que l'on trouvent sur les champs de batailles, surtout au Moyen Age). Il s'agit d'une résistance intérieure, qui ne se voit pas, mais qui existe quand-même ...
Et le fait d'être sur le front devrait aussi leur permettre d'avoir une résistance extérieure, comme les autres.
Donc je persiste à souligner qu'il y a un réel déséquilibre dont les soigneurs font les frais : ils n'ont pas à être fragiles, bien au contraire !
Et leur situation actuelle n'est ni Rp ni réaliste, à mon avis.