Etant donné que :
"Les difficultés de la vie quotidienne et l'angoisse du lendemain entraînent les hommes et les femmes du Moyen Age à profiter de toutes les occasions de rire, de faire la fête et d'oublier ces temps difficiles. "
Je ne sais pas si cette période de festivités se prête aux combats, quels qu'ils soient ...
Les "Héros" avaient envie d'oublier tout ce qui touchait à leur quotidien difficile, et avaient envie de s'affronter d'une autre manière, de façon ludique, et les enjeux n'avaient d'autres intêréts que de faire une trêve, histoire de souffler et de se changer les idées ...
Donc je trouve l'idée d'Aérul intéressante pour ce qui est des équipes multi-raciales, et des fagnons, mais pour ce qui est des Monstres, je pensais à autre chose personnellement, quelque chose qui sort de l'ordinaire vécu en Lorndor.
C'est la fête, que Diable !
Alors, en plus d'une
Pluie de Bouquets 
( comportants des "langages fleuris"), et permettant de s'offrir des fleurs à la période des cloches de Pâques, et de s'amuser à communiquer avec nos comparses avec ce type de langage pacifique, et du
Jeu de Marvelle 
, qui pousserait à la réflexion et à l'organisation, voici une autre proposition, qui reprendrait un peu l'idée d'Aerul :
une Course de Chevaux 
:
1- Certains chanceux ont des montures : ils se mettent dans une équipe de 10 membres par exemple, sans a priori de races.
2- ils se mettent en ligne. (une ligne déterminée et démarquée sur le terrain)
3 - ils doivent suivre un trajet/couloir, pour arriver les premiers.
4 - mais il y aurait des obstacles !
5 - ces obstacles ne sont autres que des arbres, qui vont les ralentir.
6 - ces arbres sont plantés, arrosés, et "grandis" par les membres des équipes adverses ...
7 - pour ce qui est des PA dépensés par action de création d'arbres ( "planter", "arroser" et "faire pousser") à vrai dire je n'ai pas trop d'idée précise là -dessus, alors je dirai : ... heu ...au pif ... vu qu'il y a 9 membres : 90 PAs
[édit : pour le jeu de Marvelle, je n'avais pas encore vu ton post, Cerb, tandis que je faisais le mien ]