Forum Heroes' Chronicles

Se tournant vert Quantum, avec un air déçu.

"Hé, arrête de crâner avec ta magie ! Parce que moi aussi je peux faire joujou"

Grobeu prit sa hache et la tapota doucement sur la grosse partie en fer.

"Argad, si tu veux que je te porte, ça ne me pose aucun problème, Huk-Huk ! "

Le Prince dit alors a voix basse, toujours en fixant la tour

-Je crois que nous allons devoir nous servir de notre magie, mon ami. je sens une grande force en ces lieux... L'atmosphère est chargée de haine... De haine envers tout ce qui vit.

Le Prince se tourna alors vers Quantum, immobile a côté de lui.

-Te sens tu prêt? Nous allons sans doute rencontrer un sorcier très puissant... Je sais que tu saura te défendre, mais je m'inquiette pour les autres.

Les deux cavaliers se tournèrent vers les utres, qui arrivaient en devisant joyeusement sur l'humour douteux du tauren.

il est trop fort mon quantum

en avant tout le monde

Grobeu regardait sa hache, puis Quantum. Puis Grobeu soupèsa sa hache avant de la faire tourner autour de lui.

"Comme si elle était pas assez légère et qu'elle ne fasse pas assez de dégâts, Huk-Huk "

Grobeu arrêta ses jongles et posa un genou au sol, atrappa une poignée de terre en prononçant quelques mots.

"Notre mère la terre, rend moi fort et dirige-moi à la victoire, aide mon clan et mon sang comme tu l'as promis autrefois."

Puis il jeta la terre sur la partie en fer de sa hache. Celle-ci, qui était rouge grâce à Quantum, devint de la couleur de la roche sauf la partie tranchante qui était restée rouge vif.

"C'est bon, on peut y aller ! Huk-Huk "

Seytahn se tourne vers Grobeu, et se décide à lui poser une question trés importante qui la turlupine depuis longtemps :

"- Grobeu, tu pourrais me dire ce que signifie "Huk-huk" ?
C'est ton cri de guerre ?"

"Euh... Je ne sais pas du tout, bonne question, Huk-Huk ! "

Grobeu se mit à rire.

[HRP]lol, c'est pourtant facile de voir que c'est un bruit de gausserie, Huk-Huk-Huk-Huk-Huk [/HRP]

Marthau,se tourna vers Quantum et dit:
-Merci Quantum mais je pense que je n'ai nul besoin de ta magie étant magicien moi même.Mais sache que tu es remonté dans mon estime et je n'hesiterai pas à me battre a tes côtés.
Puis Marthau senti une présence dérriere les arbres.
-Je pense que le mage de la tour nous envoi ces Sbires,Préparez vous aux combat!!!
Puis Marthau envoya une avalanche de neige sur un arbre.L'arbre tomba découvrant les cadavres de deux démons.Mais Marthau n'était pas rassuré:
-Malheureusement je n'en ai tué que deux.
En effet,on pouvait voir a la lueur de l'aube une dizaines de démons qui s'approchaient du groupe.

Argad regarda les monstres s'approcher. Lorsque l'un d'eux lui sauta dessus il tendit la mains et à la dernière seconde le monstres vint s'écraser sur un mur invisible. Puis se tournant vers Seytahn :

-" Il s'agit d'élémentaire de terre. J'ai cru voir que tu commandais les éléments. Normalement l'eau pourrait nous en débarraser. pourrais-tu faire quelque chose."

Seytahn entra alors en transe et une pluie magique se mits a tomber sur eux. Lorsque L'eau toucha les élémentaire ces derniers se volatilisérent en poussant des cris de souffrance.

Seytahn dit: " Je crois que nous en voila débarrassée."

Tous reprennaientt leurs souffles car si le combat fût bref il n'en fût pas moins intense. Soudain un cri s'éleva de la tour et une créature de terreur apparut. La créature ressemblait à un dragon mais il ne restait de lui qu'un corps en putréfaction. L'aura maléfique de ce dernier était telle qu'il lui suffisait de voler survoler une terre pour rendre cette dernière stérile. Le Prince attaque la créature mais cela n'eut aucun effet. Argad se tourna alors vers la compagnie.

-" Je crois qu'il est temps de mettre nos conflit de cotèe car nous ne pourrons pas vaincre ce monstre si nous ne nous unissons pas"

Alors Marthau proposa aux magiciens du groupe:
-Il serait sage d'allier notre magie pour envouter l'épée du Prince noir car aidé de notre magie elle serait bien plus puissante.
Marthau envouta alors l'épée du Prince avec sa magie de l'eau attendant que ses confrères en fassent de même.