Afin que cet
appel du 25 mai ne tombe pas dans l'oublie, le voici reproduit dans son intégralité :
Citer:
Mes cailles, mes agneaux,
il est temps, je crois, pour vous d'apprendre la Vérité !
La Vérité, avec un "V", pas la vérité officielle, l'histoire qu'on vous raconte et que nous croyions jusqu'ici !
En effet, cette petite fausse vérité, nous disait jusqu'alors
cela.
En substance :
Code:
Au commencement était l’existence de la matière et du vide, ordre chaotique tourbillonnant dans l’infini glacé. La matière était la seule existence, car elle était tout ce qui est. Elle était composée d’éléments innombrables, qui n’avaient de commun que leur opposition et l’équilibre parfait et précaire qui les unissait et les séparait. Et du Mana, l’énergie perpétuelle dégagée de la valse de ces éléments, s’extirpa une force qui perçut son être alors que la simple existence ne comprenait ni le temps, ni l’espace, ni elle-même . La Conscience naquit des éléments et les reconnut, et Cerdà fut : L’Unique, le Premier et le Seul, car Il était la Conscience qui s’étendit sur le monde.
Mais ce que la vérite ne vous ne dis pas, c'est celà :
Citer:
Le Soleil, sous la protection bienveillante de Cerda, se leva maintes et maintes fois sur le Lordnor.
Maintes aubes virent ses habitants se réveiller, maints crépuscules ses habitants s'endormir.
Ainsi allait le court du temps, ainsi allait la ronde du soleil : une roue qui tournait inlassablement, sans que rien n'interfère, une roue qui revenait, repartait, revenait toujours à son point de départ, son point d'arrivée.
Les Lordnoriens transformèrent la Terre que les Dieux leur avait donnée, Terre qu'ils tennaient eux-même de la Volonté de Cerda.
Les Lordnoriens transformèrent leur Terre, guerroyant sans cesse, se combattant sans répis.
Ils maudirent les Dieux, levèrent le point contre Cerda, l'accusant sans cesse de prendre parti pour l'ennemi.
Et Cerda se lassa.
IL se lassa de se monde, qui tournait comme le soleil le fesait.
IL se lassa de la multitude peuplant son chef d'œuvre : IL eut envie de s'en aller créer ailleurs, dans cet univers qui grandissait, qu'IL avait créer.
IL choisit alors une âme parmi la multitude.
Nul ne sait qui est l'Elu.
Car l'Elu lui-même ne se connait pas.
L'âme ainsi élevé se fit nouvelle, se fit Divine.
Ainsi naquis le Nouvel Esprit, le Chat, Divin Félin président maintenant à la destinée de notre monde.
Il n'est ni de l'Alliance, ni de la Horde, ni de quelle faction que ce soit : IL Est. Le Lorndor Est.
Les Dieux apprirent alors à le respecter, à l'adorer.
Les Lordnoriens continuèrent à croire en Cerda.
Les temps changent.
La Confrérie des Moines de la Bamboche proclame en l'état son attachement profond au culte du Chat.
Cerda reviendra peut-être un jour, le Divin Félin guide notre destinée en ce jour.
La Bamboche invite donc tous les Lordnoriens à se joindre au culte nouveau, et à boire en l'honneur de notre Divin Félin !
Amis ! Levons notre verre !
Vive le Chat !
Vive la bière !
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Post Scriptum
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J'en profite également que annoncer que la Bamboche, à travers ses activités Lordnoriennes et sa dynamique de recrutement, est à la recherche :
- De Moines herboristes de tous poils, qu'ils soient débutant, expert ou légendaire.
- De Moines Héros et aguerris, qui sauront non seulement accompagner nos jeunes loups, mais aussi mener la Bamboche sur le front.
- De Moines brasseurs : devant la pieuse quantité de boisson que la confrérie consomme, la Bamboche recherche activement maitres brasseurs et autres réseaux d'approvisionnement en bière trappiste, vin bénis... Producteurs de vins spiritueux évidement bienvenus !
Une liqueur des Moines serait en cours de création.
- De Moines infirmiers, afin de guérir les humbles souffrant.
- et, surtout, des moines aimant la ripaille !
J'en profite aussi pour rappeler que la Confrérie des Moines de la Bamboche est un ordre mixte : nous avons d'ailleurs la joie d'accueillir Sélène, naine de son état, portant à 66,6666666% la proportion d'exquise damoiZelle dans le clan.
En effet n'oubliez pas que :
Citer:
Pas d'abstinence, pas de monothéisme, pas de vœux de pauvreté !
Comme je l'ai dit : la Bamboche, c'est nouveau, c'est cadeau !