Forum Heroes' Chronicles

[a lui meme]
il cherche vraiment la bagarre avec tout le monde
loue une chambre et se prépare a pioncer et préviens juste que si il y a une bagarre qu'i l'appelle

Kruel qui avait suivit le druide elfe regarda toute la scène. Il n'avait rien compris de l'histoire de combat interne que Molière/Jah subissait. C'était bien trop compliqué pour ce pauvre troll.

Il contemplait fièrement son morceau de bois, planté dans le parquet quand le tauren entra et s'énerva. Il embrassa ce dernier et lui dit :
-"Calme toi mon grand, le vieux poilu n'a rien fait à Michael ou du moins il ne l'a pas pas fait expres."

Puis, regardant Michael avec un rictus rusé, Kruel s'amusa à tourner en rond autour en riant et en chantonnant :
-"Chambre numéro 12! Chambre numéro 12! Chambre numéro 12! Chambre numéro 12! Chambre..."

Michael se torsionnait de douleur, poussant des gémissements...

Grobeu s'élança alors sur le Troll, le bouscula et lui plaqua violemment la main sur la bouche.

"Toi avoir fini, oui ??"

A ce moment là, le Tauren sentit des trucs pointus lui rentrer das la paume de sa main. La douleur s'emplifiait et il ne put s'empêcher d'hurler...

[dit avec un rictus sadique]
je pense pas qu'il est en mesure de répondre

Lorsque Merkuzio eu fini sa chope (k'il trouva d'ailleurs fort bonne... pour une bière bien sûr), il se retourna vers la scène immaculée de progestérone et se dirigea vers les acteurs.
- Allons mes amis, modérez vos entrains. Gardez vos forces pour le froid et les batailles. Ce pauvre Kruel ne mérite en rien son sort. Il devrait plutôt m'être destiné.

Le druide se pencha vers le troll qui se reposait sur le planché, observa la bosse ki ornait son front puis se releva.
- Pardonne moi, mon chère Kruel. Les boutades ne semblent pas obtenir de succes auprès de l'assistance. Si ton nouveau couvre-chef te fait souffrir, n'hésite pas à taper sur mon épaule (amicalement j'entends...), je me ferai un plaisir de te fournir des plantes apaisantes.

Puis il se retourna vers Micheal. L'agacement se lisait sur le visage de ce dernier. Koi de plus naturel après avoir été ensorcelé à son insu. Un reste de glacon finissait son parcours sur la botte droite de l'humain.
Bien sûr le druide aurait dû s'excuser de son geste, lever le drapeau du méa culpa. Mais il n'en fit rien. Un excès d'orgueil ?! On voit ke vous n'avez pas souvent rencontré de druide elfe... Tous simplement un classement des actes différents. Le sien n'était k'une boutade, et ne se transformerait en rien d'autre.
- Viens mon cher Michael. Ta chope se langui de toi, seule sur le comptoir. Et invite ton fidèle compagnon à te rejoindre. Sa main semble irritée. Tenir une chope lui fera le plus grand bien.

Le baiser de Molière/Jah (était-ce l'un ou l'autre, ou encore les deux ?) avait traumatisé Butterfly. La surprise avait été telle que sa main avait giflé par pur réflexe. Non qu'elle regretta son geste, bien au contraire ! Mais maintenant qu'elle réalisait la goulue "pronfondeur" du baiser, Butterfly cherchait à en effacer le souvenir par tous les moyens.

Elle descendit en trombe les escalier de l'auberge et fonça derrière le comptoir, ne regardant même pas qui elle bousculait au passage. L'elfe glissa ensuite la bouche sous le large robinet du premier tonneau de cervoise. Elle actionna le mécanisme et l'alcool s'engouffra à flot dans sa gorge. Durant 5 longues minutes, elle effectua ces gargarismes solvateurs sans faire attention aux clients qui l'observaient étrangement. Elle ignora même Titoc qui semblait affolé de voir sa bien-aimée agir ainsi...

Enfin, Butterfly releva la tête, ses longs cheveux violets en désordre. La couleur de ses joues s'était empourprée et son teint bleu pâle avait disparu.

- Je...(oups)... suis vraiment vraiment beaucoup très navrée, Sieurs consommateurs ! Ze ne le referais pu (hic) ! Promis juré ! (hic)

Puis, dans une seconde de lucidité, elle chercha activement du regard Titoc, son gnome adoré. Avant d'arrivé jusqu'à lui, ses yeux se portèrent sur le grand druide-ours. (En réalité, son regard était passé au-dessus de la tête de Titoc car elle n'avait pas encore l'habitude de sa petite taille...)

- Merkukuzio ! Tu es là !!! (hic) J'avais oublié que nous devions nous retrouver ici ce soir... (hic) Si tu savais tout ce qui m'est arrivée ! Olalalala ! Pffff ! (hic) Ben, 'suis bête ! C'est vrai qui tu as quelques pouvoirs de devin... Alors vas-y ! Devine ! Qu'est-ce qui m'est arrivée depuis que je suis dans cette auberge ?! (hic)

Butterfly avait sauté dans les bras de son ami d'enfance. Celui-ci l'avait d'ailleurs rapidement soutenue car elle manquait à tout moment de tomber par terre...

Arrivé au bas de l'escalier, Molière/Jah regardait la scène amusé...

Titoc avait regardé Butterfly sans mot dire pendant qu’elle se « rinçait » la bouche. Quant elle eu enfin fini, Le gnome s’approcha, mais elle ne le vit pas et continua son chemin. Les clients quant à eux trépignaient d’impatiences, brandissant leurs chopes vides.
L’aubergiste décida qu’il s’occuperait de sa bien aimée plus tard et la laissa face au vétéran elfe qui semblait digne de confiance.
Les habitués commençaient a crier des mots pas toujours très courtois au gnome.

Ca va, ça va, j’arrive…

Titoc prit un plateau, le chargea de bocks et s’avança vers le tonnelet pour les remplir. Une petite flaque de bière était étalée au sol et le robinet semblait ouvert. Butterfly avait vidé le fût de bière.
Le Gnome, qui ne manquait pas de ressources, disparu dans la cave et en ressortit quelques secondes plus tard, les chopes pleines a ras bord. Il commença à les déposer sur les tables des clients assoiffés.

J’espère que vous aimez le lait de chèvre, il ne me reste plus que ça. Mes réserves dans la cave ont été détruites, quant à la bière qui restait…

Le gnome jeta un regard sur sa bien-aimée, affalée sur une chaise, en train de converser avec son vieil ami. Vieil ami qui détournait d’ailleurs la tête pour éviter l’haleine et les postillons de Butterfly.
Esquivant une chope de lait de chèvre qui lui était lancée au visage, le gnome retourna voir sa dulcinée.

Bon, peut être devrait tu aller te reposer un instant ? Tu reparleras à ton ami lorsque tu auras repris tes esprits…

Titoc leva les yeux en entendant Molière qui ricanait, mais il n’eu pas le temps d’en dire plus, car déjà un client venait lui faire part de son mécontentement…

Alors ke Merkuzio se dirigeait vers le comptoir, laissant dans son sillage Micheal et son ami, une ombre violette fit chancelé son manteau. Cette péripétie le fit stopper et s'intéresser à cette ombre familière qui prenait forme elfique derrière le tonneau de cervoise. C'était Butterfly, son elfe préférée. Elle n'avait pas changé depuis les bancs d'école. Les années avaient glissé sur elle comme de l'eau sur des écailles de dragon. Il n'en restait pas une goutte. Et son tempérament semblait tjrs aussi explosif et instinctif.



... Et elle ne semblait toujours pas tenir l'alcool.



Merkuzio n'eu même pas le temps de répondre ke l'elfe était déjà dans ses bras... Drôle de sensation ke d'accueillir à nouveau cette être fragile sous son aile. Un sentiment de joie et de peine frappa le druide. Il reposa délicatement Butterfly sur la première assise assez stable pour accueillir son corps imbibé d’alcool, puis s’assis en face.
- Et bien, petite soeur, est ce l'impatience de me voir qui t'as mis dans cette état... ou bien un besoin incontrôlé d'oublier ? [Merkuzio ne pouvait pas s'en empêcher. Il aimait l'art de la boutade] Il ne faut pas être devin pour savoir ke l'amour t'as touché. Montres moi ce fameux Titoc dont tu me parles temps dans tes lettres, montres moi mon futur beau frère...

Merkuzio eu a nouveau ce sentiment de peine. Bien sûr Butterfly n'était pas sa soeur, bien sûr ils n'étaient ke des amis d'enfance... Mais le druide aimait prendre le rôle du frère, rôle qu'il eut auprès de sa véritable cadette, mais rôle que la mort lui vola par un matin d'hiver. L'elfe qui était à nouveau à ses côtés était sa soeur... à ses yeux.
- Alors !! Où est il ? Ton bien aimé n'est pas caché dans ta poche au moins...

tu as raison l'ancien mais je ne trouverais ma chope que dans quelque minutes
il faut que je me défoule

il sortit dans la pénombre et revint quelque minutes plus tard
son épée était ensanglantée
les elfes tiennent pas l'alcool
ah oui j'oubliais
EHHH LE DRUIDE
au moment ou il se retourna il eu a peine le temps de voir un seau d'eau glacée se renverser sur sa tete
on est quitte maintenant
j'avais bien vu que tu voulais pas t'excuser donc moi je te rends la pareille et l'eau provient d'un élémentaire donc elle est tres pur
allez comme je suis pas rancunier je te paye une chope

Au son du mot "chope", le jeune Grobeu réagit promptement et arriva au comptoir en bousculant les deux acolytes.

"Toi vraiment aimer lait de chèvre ?"

Il se lècha la main qui saignait de nouveau. A peine s'était-il engagé à faire la guerre par vengeance qu'il avait déja la facheuse habitude d'avoir toujours les mains sanglantes ou imbibées de sang...

*Le gnome recouvrit son ancien demi-sourire, un rien sarcastique, un rien amusé pour lui même et une partie de sa conscience lui sussurat "Ton baiser fut-il réellement désagréable, ou bien juste inoubliable..."*

*Le gnome entendait que l'elphe allait se marrier avec.... Titoc.... Ce nom évoquait quelque chose... Oui, c'était ce petit bonhomme agité qui animait l'auberge de ses colères... Attends.. N'était-ce pas quelqu'un d'autre... Un gnome... Tant pis, Ca me reviendra*

Ainsi, notre aubergiste se marrie, m'apprend-t-on... Avec vous Gente elfe... Heureux pour vous! Félicitation!!

*Une voix s'insinuait dans l'esprit du Gnome "Tue-la!" répétait-elle, "Considérer toutes les races non gnomes comme inférieures, mon fils, Ainsi Jah l'a dicté!".. Les perfides pensées de Jah, le Père, commencçait à trouver place dans l'esprit amnésique du Gnome...
Alors une deuxième voix lui fit écho, son timbre était plus clair "Une elphe... C'est jolie. Allez, tu peux réussir à la charmer... Elle a gouter à tes baisers, elle ne pourra plus s'en passer..." Le gnome sentait le désir de charmer à travers les propos de Molière, mais ne bronchait pas. Enfin il s'avança vers Titoc, en tentant de voiler soigneusement son égarement*

Jeune aubergiste, vous m'inspirez confiance *"Il est comme les autres, il veut ta place" sifflait Jah*, et si je peux vous conseiller, vous devriez rapidement trouver une boisson un peu plus corsée... Ne me dîtes pas qu'il ne vous reste pas un fond de barrique dissimulé derrière quelque arcane...*Le gnome baissa la voix* Pourriez-vous aussi me dire où pourrais je trouver un groupe de gnomes aptes à la bataille... Je ne semble peut-être pas très convaincant, mais je peux me révéler un compagnon de choix *"tu es tout, l'Alpha et l'Omega, tu n'as rien à attendre de lui"*

*Le gnome sentait l'agacement de cette conscience qui s'appelait Jah "Pourquoi ne pas tous les tuer? Tu serais chef! Ne l'as-tu pas déjà fait?! Et oui, petit d'homme, tu es bien plus que cela, ne les laisse pas faire de toi moins que ce que tu ne vaux"*

Oubliez cela sieur serveur, je saurais m'en sortir... Contentez vous plutôt de quérir de l'alcool à tous ces zouaves

Les murs de l'auberge dansaient un incessant balet. Les clients s'agitaient avec un va-et-vient continuel. Le brouaha était fort et pénible. Butterfly avait mal à la tête... Elle mettait toute sa volonté pour rester concentrée sur les évènements qui la concernaient. Et comme fait exprès, tous le monde s'adressait à elle en même temps !


- Euh.. Non ! Il est ...


- Quoi ?! Ah oui. oui ! Tu as raison, mon bien-aimé. Je vais...


- Hein ?! Mais qu'est-ce qui... ? Tout n'est pas réparé là-dedans on dirait !

Epuisée, Butterfly se leva chancelante. Titoc vint lui soutenir le bras. Il l'accompagna quelques pas.

- Reste donc, mon cher aubergiste. On a besoin de toi, ici. Laisse-moi une de tes chambres quelques heures et je reviendrai toute fraîche à tes côtés !

L'elfe monta l'escalier, une main prenant appuie sur le mur, l'autre dégraffant son corset de cuir. L'alcool fait perdre toute inhibition, c'est bien connu. Mais le vêtement de Butterfly ne tomba au sol qu'une fois la porte de la chambre 11 fermée. Les clients qui avaient arrêté leurs querelles pour dévorer l'elfe du regard repatirent de plus belle dans un vacarme étourdissant...

La porte se rouvrit. La tête de Butterfly dépassait.
- Qui a laissé trainer ce porte-manteau hideux dans la chambre ?!
Elle jeta au bas de l'escalier le totem vaudou de Kruel avec dédain. Puis ele claqua la porte pour s'endormir quelques minutes après...

Le troll était accoudé à la rembarde du haut de l'escalier. Il observait, serein, tout ce qui se passait dans l'auberge en fumant sa pipe.

Il était songeur. Il savait que l'océan de glace qu'il y avait dehors et qu'il affectionnait tant venait de se dissiper. Celà le rendait mélancolique.
-"Je perds mon temps ici, je m'en vais."

Arrivé au bas de l'escallier, il se prit sur la tête sa balise qui avait été cassée peu avant par Michael, ce qui le dégoûta encore plus.
Kruel ramassa son sac et quitta l'auberge sans se retourner.

j'espere que je l'ai pas vexé
michael était de meilleur humeur et avait ricané doucement en voyant l'elfe tenir l'alcool
bon c'est pas tout sa mais y faut que je me trouve un clan
il s'assit a une table et sombra dans ses pensées