Forum Heroes' Chronicles

s'approche du gnome évanoui
pourriez vous m'expliquer ce qui est arrivée car vous semblait mieux le connaitre que moi
vous ne me connaisez pas bien mais j'aimerais apporter mon aide
j'ai entendu ces hurlements et vus ces coupures et j'aimerais savoir pourquoi il a fait sa
sinon je me suis renseigné sur Jah mais je n'en ai trouvé aucune trace comment cela se fait?

La porte de l'auberge s'ouvrit, faisant entrer une vague de neige compact. Un froid mordant s'installa dans le hall. Tous les regards étaient fixés sur ce nuage de fraîcheur désagréable. Une voix roque provenant du font de la salle retentit :
- La Porte !!!

Mais avant même que ses babines ai eu fini de bouger, le bois massif ki servait de porte se referma avec fraqua. Le nuage commenca à s'évanouir, lancant place à une forme aussi grande qu'un ours... Pas étonnant, c'est le museau de cedit animal qui apparu derrière les derniers flocons. Un mouvement de recule général se fit sentir. Mais les esprits s'apaisèrent rapidement lorsque tous réalisèrent que l'animal n'était en fait k'un couvrechef.
- Eh Kapouhak !!!, dit un tauren, moi ki pensais pouvoir enfin manger...

Sous la peau d'ours se dévoila un elfe d'un certain âge, aussi grand ke la bête qui lui sert de manteau. Il se nommait Merkuzio, Druide-elfe de sa formation au Santuaire d'Elune, il savait toutefois manier l'épée et les chopines... Son visage était pur, caché par une barbe aussi blanche ke la neige ki sévissait dehors. Il avait le regard amical mais ses mains ridées laissaient présager un tempérament bien trempé.
En s'approchant du comptoir et de l'aubergiste qui se trouvait derrière, Merkuzio sentit une odeur familière : du sang... Ses yeux confirmèrent son odorat. Des goutes de sang jonchaient le sol tels les cailloux du petit poucet (paix soit son âme, triste fin ke d'être mangé par un Orc saoul en rentrant chez soi). Et ce chemin rouge menait à l'étage...
Mais Merkuzio, en fit abstraction pour le moment. Sa gorgue était sèche et son corps affaibli par le froid. La chaleur d'une bonne Chopine lui fera le plus grand bien

- Aubergiste, dit il, sers moi une chopine de ton meilleur cru, je suis sûr ke ta cave cache des trésors que mon palais a hate de découvrir. Et serait il possible de faire reposer ma monture à l'écart du froid ? Ma Jaguard est aussi vieille ke moi et aime, tout comme moi, les coins trankil et chaud.

*Titoc observa l’inconnu s’approcher. Il était assez impressionnant sous sa peau d’ours. L’aubergiste craignait les magiciens car le grunt ne pouvait leurs confisquer aucunes armes. Néanmoins l’elfe avait un air noble, qui inspirait confiance. On sentait dans son regard le poids des années qui n’avaient nullement altéré sa vitalité.
Le Gnome lui tendit une chope de bière.*

Tenez messie, je n’ai plus que de la bière, j’espère que vous vous en contenterez. Mes réserves en bouteilles ont été… consommées.

*Titoc lui laissa le temps de boire et tendit l’oreille vers la chambre a l’étage, tout était calme. Néanmoins le Gnome ne savait s’il devait se réjouir de ce calme ou s’en soucier. Le cas de Molière était préoccupant… L’aubergiste s’adressa encore a l’étranger :*

Désolé de vous importuner messire, mais auriez vous par hasard des talents de guérisseur ? J’ai un ami qui se trouve assez mal en point. Peut être avez vous glaner quelques secret aptes a le guérir lors de vos voyage ?

*Titoc observa le visage de l’Elfe qui ne trahissait aucune émotions. S’il avait été surpris pas la question, il ne le laissait pas paraître. Ce n’était pas dans les habitudes de la maison de faire confiance d’emblée aux étrangers, mais le Gnome ne savait plus quoi faire pour aider son ami.*

Butterfly, assise au chevet de Molière/Jah, leva les yeux vers Michael qui demandait des explications.

- Et bien, c'est un peu compliqué et chacun aura tendance à avoir sa version des choses... Je vais donc vous conter la mienne.

La porte d'entrée de l'auberge claqua, mais elle n'y prêta pas attention.

- D'un côté, Jah représente le Dieu gnome adoré par son clan (le G-nôme). Le charisme de ce Dieu lui donne une image de lui-même tellement supérieur que son comportement en devient exécrable. Du moins, c'est ma vision d'elfe.
D'un autre côté, Molière est le chef du clan. La meilleur description de ce personnage est souvent donnée par lui : "Molière est volage." Il est aussi le contact direct de Jah avec son peuple. Jusqu'ici, tous pensait à des visions ou bien à des rencontres privées dans le monde des Dieux.
Mais depuis ces derniers jours, son comportement est très bivalant jusqu'à cette auto-violence dans la cave... Jah manipulerait-il le corps de Molière ? Ou est-ce seulement une maladie psychique qui trouble son esprit ? Dans tous les cas, les faits sont là... Qui peux dire si c'est Molière ou Jah qui s'éveillera dans ce lit ?

Butterfly regardait le gnome étendu sur le lit de la chambre 11. Elle avait bien fait attention d'omettre dans son histoire la probable cause de cette folie : la chambre 12. Cette pièce de l'auberge qui était réservé à Molière et qui restait fermée de l'autre côté du couloir... Et pourtant, elle savait qu'un moment ou à un autre, elle devrait dire ce qu'elle sait...

pfff
cela confirme se que je pensais
certains dieus ne sont pas aussi bénéfique qu'on pourrait le croire

merci beaucoup d'avoir répondu a mes questions

a ce moment le corp de moliere s'agita avant de s'immobiliser de nouveau

bon au moins il vit

il commenca a s'éloigner mais se retourna au dernier moment

au fait c'est quoi cette chambre 12?
on ne dirait pas qu'elle est normale
entre les lumieres bizarres vous, qui apparaissait a l'intérieur, Kazgarore dont les blessures se soignent toute seule

Kruel, entendant le tavernier demander une aide médicale, alla le voir. Il sortit de sa sacoche un bâton de bois orné à son extrémité, d'une tête vaudou taillée.
-"Tiens! C'est de la médecine troll, tu dois le planter dans le sol à proximité du mourrant. C'est très efficace et c'est cadeau."

Le gnôme pris l'objet pour ne pas vexer le troll. A son visage, il ne voyait pas comment un bout de bois pouvait avoir une quelconque vertue médicinale...

*Le Gnome leva la tête et observa le Troll qui cherchait visiblement quelque chose. Lorsque ce dernier lui tendit un baton, Le gnome manqua de lui rire au nez. Puis pensant a l'etat de Moliere il se ravisa... De plus le Troll avait l'air serieux.*

Merci mais Moliere est dans la chambre et je n'ai pas envie de percer mon plancher pour y planter un simple baton.
Bon je pourrais toujours raviver le feu avec, il m'a l'air bien sec.

*Voyant le visage du Troll blemir, Titoc se dit qu'il aurait peut etre dû garder pour lui sa derniere reflexion. Apres tout, pourquoi ne pas essayerr, si ca pouvait faire plaisir a un de ces clients... *

Sur un ton calme mais passablement irrité, Butterfly souligna :
- Kazgarore n'est jamais entré dans la chambre 12... Et ce qui s'y trouve ne te regarde pas.

Butterfly fixa Michael d'un regard froid. L'elfe n'avait pas l'habitude d'user d'hypthose, surtout d'une manière aussi agressive. Mais cette intrusion dépassait les limites de l'acceptable.

<Butterfly> Tu ignores tout de la chambre 12 et tu en est heureux.
<Michael> J'ignore tout de la chambre 12 et j'en suis heureux.
<B> Toute allusion à la chambre 12 provoquera chez toi une contraction musculaire incontrôlée d'un membre aléatoirement.
<M> Toute allusion à la chambre 12 provoquera chez moi une contraction musculaire incontrôlée d'un membre aléatoirement.

Butterfly passa sa main devant le regard livide de Michael puis lui fit signe de sortir.

Kruel se remémora plusieurs fois les paroles du gnôme pour les comprendre. Lorsqu'il compris les enfin, il s'énerva.
-"Les gnômes ça croit tout savoir sur tout! Ils renient les croyances et les magies ancestrales pour leur ingénieurie stupide! Donne-ça!"

Le troll courru avec sa balise à la main dans les escaliers. Il ouvrit la porte à la volée, les veilleurs au chevet de Molière n'eurent pas le temps de comprendre ce qui se passait que le troll avait déjà planté la balise devant le lit. Les lames du parquet sautèrent sous le choc.
-"Pas de remerciment, ça me fait plaisir!"

Avant de leur laisser le temps de parler, le troll redescendit dans la salle commune en courrant, laissant les occupants de la chambre stupéfaits devant le bâton de bois grossièrement taillé planté en biais dans le parquet...

Le jeune tauren installé depuis longtemps à l'auberge commenca a sortir d'une petite sieste, il rêvait qu'un héros allait mettre un terme à la malédiction de Lorndor en abattant le Titan des Glaces, peut-être était-ce le moyen de faire revenir la chaleur ?

- Aubergiste ! Une chambre s'il vous plaît !

*C'aurait pu être une seconde comme une éternité, le Gnome n'en avait aucune idée... Dans un lieu Immatériel d'une douce et appaisante aura rose-citron, un espace où même le temps n'osait plus s'aventurer s'était affrontées deux entités... Plus aucun d'eux ne savaient lequel fut le premier porteur de cette enveloppe charnelle, ils savaient juste qu'ils voulaient tout deux en être le dernier...

Ainsi, à travers un incroyable duel de volonté, au cours duquel chaque erreur pouvait signifier la mort, Molière et Jah s'étaient débattus... Il ne s'agissait plus d'un vulgaire combat physique comme le Gnome en avait tant livré, mais bien d'une lutte pour soi! A de nombreuses reprise, l'une ou l'autre des deux âmes s'était sentie sombrer, mais jamais, jusqu'ici, aucune des deux n'avaient accepté d'abandonner le corps à l'autre

Jah, le Magnanime, la Divinité, s'étalait dans toute son écrasante puissance mégalomane et charismatique, il se présentait au nom de tous les gnomes pour tenter d'abattre son opposant, et c'est chacun de tous ses fils qui se dressaient à travers lui pour faire face... Molière, pour sa part, l'orgueilleux, le facétieux, se débattait de tout ce qu'il pouvait représenter, imposteur, menteur et joueur, mais unique, et c'est de sa personnalité même qu'il se servait*

*Au cours de ce déploiement de volontés, Jah et Molière sentirent soudainement le fil ténu qui les reliait encore à la masse innanimé qu'était devenue le gnome s'effilocher.. Il mourait!
Sans plus réfléchir à ce que les deux combattants pouvaient abandonner d'eux même, Jah et Molière se ruèrent vers le corps, quittant ce néant de Rose-citron, ainsi qu'une partie de ce qu'ils savaient chacun être, tels des souvenirs, des émotions, des parcelles de soi oubliées sur la grève du champs de bataille... Alors repérèrent-ils la source de cette soudaine rupture : un gaffis, une balise de meurisier...
Les gnomes le brisèrent d'une seule pensée commune et se précipitèrent en "eux"... Juste à temps....*

*Le gnome s'éveilla en sursault dans la chambre sombre, manquant de renverser Butterfly qui le maintenait fixe au lit pendant ses convulsions...*

JE !....

*Le gnome serra fort cette charmante elphe qui le soignait dans ses bras et l'embrassa passionnément... L'effet en fut immédiat, et la gifle qu'il reçut lui réchauffa la joue*

Voila qui réveil, fort jolie jeune elphe... Allons, aidez-moi à me relever, et allons voir si votre aubergiste a un vin qui mérite ce nom pour acheuver de me remettre sur pied...

michael a senti quelque chose essayait de rentrer dans son esprit
n'ayant aucune expérience de la magie il ne put lutter et oublia tout de la chambre 12 mais se rappela les yeux percants de l'elfe
je sais pas ce que tu m'as fait mais je devais l'avoir mériter
excuse moi si j'ai été indiscret

a ce moment des convulsions secouerent molliere qui se réveilla
bon retour parmi nous
pour le vin il n'y en a plus ( on se demande pourquoi ) mais si tu veus une bonne biere
[i]sur ces mots michael s'éloigna
il n'était pas a sa place et gardait encore un sentiment étrange de l'elfe mélange d'affection et de peur
et oui il avait peur d'un pouvoir qu'il n'a jamais pu éfleurer n'étant qu'un simple paysan

La première pensée qui vint à Merkuzio fut un sentiment de lassitude. Pourquoi faut il toujours qu'on me soliciter pour soigner, désensorceler, maudir... J'ai besoin de repos comme tout le monde.
Alors ke le druide allait déclarer son refus, son regard croisa celui de l'aubergiste et, sans le monter, fut troublé par ce petit être assez repoussant mais d'une profondeur infini. Ses yeux, rempli d'un sentiment d'impuissance, semblaient supplier l'aide de son interlocuteur.

- Mmmhh tu sembles inquiet sur le sort de ton ami, propriétaire des gouttes de sang qui ornent ton planché. C'est fort honorable de ta part. Mais soit sans crainte, le jour de renaissance est proche. Ton frère, en prise avec son propre démon (lui-même), ne va pas tarder à mettre fin à sa bataille intérieure et revenir à tes cotés, en ses jours heureux ke sont les tiens.

Merkuzio eu un temps d'arrêt, scrutant le comptoir vérolé de chopes. Le gnom, étonné par ce changement brusque d'attitude, ne réagit pas lorque le druide se pencha derrière le comptoir pour attraper le seau plein de glace... Puis il reprit :

- Mais ne relache pas ton attention, de cette bataille peut en sortir le bon comme le mauvais. Et le temps est seul révélateur du résultat.

Toujours en regardant l'aubergiste, Merkuzio se tourna en direction des escaliers, son seau à la main. Il fit un clin d'oeil et dit d'un voix large :

- Tiens voila enfin le propriétaire de la chambre 12 !!

A peine ces mots étaient lancé dans l'air que Michael, qui était à la hauteur du druide, eut une contraction musculaire incontrôlée d'un membre au niveau du bas ventre. Merkuzio, calmement, reversa la seau plein de glace sur la bosse de Michael, mis sa large main sur l'épaule de ce dernier est lui dit d'un ton amical :

- Moi aussi je suis heureux de te voir mon cher Michael. Pardonne moi pour ce premier contact assez froid mais c'est bon pour ce ke t'as.

Puis il retourna tenir compagnie à sa chopine, au comptoir. Il aimait bien cette auberge...

comment sa se fait que se soit contracté
il s'approcha de l'inconnu et commanda une biere
que voulais tu dire?

Grobeu s'approchade Michael et de l'homme qui resemblait à un ours.

"Hé, Michael, toi avoir encore douleur ?? *regardant Merkuzio* Et qui toi être pour laver copain à moi ? Toi ressembler à Gropoalu que moi chassais avec papa..."

Le jeune Tauren avait l'air de vouloir se battre, il ne conaissant aucunement le vieux druide mais spontanément, il voulait le provoquer...