Moi je dis que :
1- être pacifiste en acte et violent en paroles ce n'est pas être pacifiste.
2- être pacifiste en paroles et pas en acte ce n'est pas être pacifiste.
3- le pacifisme est difficile à définir, surtout que le meilleur moyen de se définir, c'est à dire de s'identifier, c'est de se confronter à l'autre, les conflits permettent de mieux se connaitre.
4- être tout le temps dans des comportements pacifiques, en acte et en paroles, ça peut devenir ennuyeux et planplan, comme le fait dêtre tout le temps en conflit : c'est lassant et inutile à force !
5- si la violence, certes, appelle la violence, le pacifisme peut énerver et appeler aussi la violence.
Conclusion : le pacifisme c'est comme la perfection, quelque chose qu'on ne peut jamais atteindre mais vers quoi on devrait tendre, ne serait-ce que pour découvrir de nouvelles étapes d'expériences, mais ça ne peut passer que par l'impacifisme ( ça existe ce mot ?).
( puis en plus je n'aime pas l'alcool

)
(Sinon chapeau pour ton discours, Alcibiade, j'ai vraiment l'impression d'être en face d'un personnage gnome haut en couleur et original, si Molière n'existait pas je serais tombée amoureuse de toi

)
édit :
chaoskhorne a écrit:
:shock: seytahn, tu es mariée quand meme.
Oui peut-être, je ne sais pas ! en tous les cas ce que je sais c'est que molière m'a confiée ce soir qu'il avait eu des maîtresses Undeads par le passé !
