Forum Heroes' Chronicles

Voici le début d'une histoire que j'ai commencé a écrire. Dites-moi vos commentaires pour que je m'améliore dès la partie 2. Je posterai mes différentes parties a chaque semaine. Merci Bonne lecture.


Le commencement

La nuit était déjà avancé et la lune éclairait les moindres recoins de la ville de Goldspire. Les paysans étaient tous assoupis dans leur lit de paille. Seul quelques gardes étaient toujours réveillés et guettaient le pont à l’ouest de la ville. La nuit était chaude et humide. Les gardes du pont étaient autour d’un feu et discutaient de tout et de rien.
Aussi étrange que cela puisse paraître, un vent glacial se leva et projeta les gardes au sol. De tels vents n’avaient jamais soufflé aussi fort a Goldspire. Les vents étaient de plus en plus fort comme si dame nature avait une dent contre eux et blessa légèrement un des garde. L’un d’eux regardant en direction du pont et aperçu une personne traversant le pont. Elle était recouverte d’une cape et traversait le pont avec une telle vivacité! Au fur et à mesure que l’être approchait, le vent se calma mais l’air se fit de plus en plus froid. Les guets étaient frigorifiés et se plaignaient du fait qu’ils respiraient… et non sans peine. Le plus vieux du groupe s’avança sur le pont :

- Halte étranger ! Qui êtes-vous et d’où venez vous ?

L’homme capuchonné s’arrêta. Aucun son se fit entendre. Les deux hommes n’étaient qu’à quelques pas l’un de l’autre. L’étranger était beaucoup plus imposant que le garde. Mesurant approximativement deux mètres, l’homme sans nom était certainement un puissant guerrier. Le garde ressentit une certaine peur l’envahir.

- NOM ET DESTINATION !?! Parler au mourrez de mon épée !

Le pauvre garde dégaina son épée et s’élança vers l’inconnu. Le reste se passa en une fraction de seconde : l’étranger esquiva le coup, empoigna sa propre épée et trancha la tête du malheureux. Les autres gardes regardèrent la scène, impuissant. Ils ne firent pas un geste. Ils étaient terrifiés. L’homme devant eux était beaucoup plus fort qu’ils l’imaginaient. Ils ne croyaient pas faire affaire avec un être humain. La puissance et la vivacité de son coup d’épée ne pouvait pas avoir été donné par un simple mortel. Quelque chose de surnaturelle planait autour de cette créature. L’homme s’agenouilla près du corps décapité et murmura quelques mots :

- Armaï, Dipoa, Muran, Dipio

Une boule verte s’échappa du corps du défunt et s’en alla tournoyé autour du meurtrier. Il l’aspira et grogna de contentement. Les gardes savaient qu’une attaque au corps à corps leur serait fatale… Ils leur fallaient fuir . Au même moment, comme si l’être pouvait lire les pensées, l’homme se leva et prononça les mêmes paroles. Trois rayons s’échappèrent de sa main et vinrent frapper les gardes de plein fouet. Trois orbes vertes sortirent des hommes et vinrent s’engouffré dans le mystérieux magicien. On entendit trois épées se fracasser sur le sol, puis trois corps sans vie s’écroulèrent lourdement par terre. L’homme sous la cape replaça son épée dans son fourreau. Ils fit quelques pas et regarda le visage d’une des victimes. On pouvait lire la peur, l’horreur et la détresse dans ses yeux. L’étranger sembla sourire puis continua son chemin vers le cimetière.

Pas mal, pour un prétendu débutant machinaz, tu nous avait caché tes talents.
je crois deviner une influence soit Soul Reaver, soit Vampire: la mascarade.j'ai raison?

non non je no connait aucun de ces jeux ici cités. Je m'inspire plutot de l'univers de War3 !

Ah bon?
C'est juste que l'absorption d'ame me faisait un peu penser a ces 2 jeux.


LA SUITE! LA SUITE!

moi c'est plutot WOW


- Rattrapez ce vaurien! Je vais t'égorger tu verras.
- Le jour où tu mettras la main sur moi tu pourras peut-être espérer.
- Moebius tu avais faim? demanda une fille qui le vit sauter partout en bousculant les gens
- Faut bien piquer ma croûte, dit-il essoufflé.
Tout le monde explosa de rire en le voyant se dérober devant le marchand. Il lui arrivait souvent de courir pour ne pas être poursuivi car pour manger il lui fallait voler. Il était orphelin et son quotidien se résumait à peu de choses. Voler pour se nourrir, fuir pour être libre et s'amuser avec ses amis étaient ses principales activités. Il était maintenant hors de vue de son pousuivant et pouvait donc se rassasier. Il n’avait pas pris grand-chose cette fois-ci : un bout de viande à base de tigre noir à dents de sabre et une flasque d’hydromel. La faim qui le rongeait lui interdit d’attendre plus lontemps ; il se résolut donc à déguster son modeste repas froid.
- Tu vas avaler ça cru, dit une voix douce derrière son dos
- Est-ce que tu penses vraiment que j’ai le choix, Mikimo? Répondit-il sans même se retourner.
- Non c’est vrai mais moi je l’ai.
Elle prononça alors des paroles incompréhensibles,traça des signes étranges avec ses mains et fit apparaître des flammes.En voyant ce spectacle, Moebius ne pouvait s’empêcher de vouloir posséder ces pouvoirs mais il ne pouvait pas se permettre des études alors qu’il n’avait même pas assez d’argent pour s’acheter de la nourriture, et il se dit aussi qu’il ne supporterait pas d’entendre des adultes lui dire ce qu’il devait ou non faire. Il se baladait donc pendant que ses amis étudiaient. Mais même sans s’en douter en se baladant lui aussi apprenait des chose que l’on ne pouvait pas trouver dans les livres, il avait une parfaite connaissance des plantes et des animaux. La seule raison qui le poussait à rester en ville était simple : les amis. Car quand il sortait de la ville pour plusieurs semaines, pour un quelconque méfait, il chassait des sangliers ou des jeunes tigres et cueillait des fruits. Il arrivait aussi à se confectioner des habits grâce aux peaux des animaux qu’il mangeait, lorsqu’il ne les vendait pas.
Pour l’instant il savourait son dîner sans autre pensée que celle de ne pas se mordre la langue.Une fois son bout de viande fini ils parlérent si tard que l’on voyait deja le soleil se noyer dans la forêt immense qui bordait le paysage .
- Au revoir Mikimo et encore merci pour le feu, dit-il en la voyant s’eloigner.
- C’est normal, ne te fais pas attraper cette nuit et à demain.
Il lui arivait souvent de se promener dans Orodreth, la capitale arbre. Cette ville était entierement situé dans l’Arbre. Il y avait cependant tout ce que l’on voulait : un palais en haut, un marché en bas, des habitations, des écoles, et les principax lieux de toute civilisation des temples dédiés aux different dieux de ce peuple. Toutes sortes de personnes vivaient dans cette ville diplomates, gardes, marchant, enfants et bien sûr le grand prètre Eleanor, souverain de ce royaume. Jamais Moebius ne l’avait vu mais il semblait être en grande grande partie la cause de la décadance de la civilisation : ses gardes faisait vivre une terreur dans la cité ; c’est d’ailleur pour ça que Moebius ne voulait plus rester en ville très longtemps. Il préférait se promener dans une grande forêt et admirer les arbres, là personne ne le dérangeait et il pouvait faire ce qui lui plaisait.
Pour le momment il cherchait un endroit tranquille pour pouvoir dormir en paix en esperant ne pas être trouvé par des gardes pendant la nuit. Il allait vers le bas de l’Arbre pour pouvoir sortir de la ville pour plus de sûreté. Il empruntait le chemin le plus court mais aussi le plus dangeureux pour lui : le quartier marchant, l’endroit où le nombre de personnes qui voulait sa peau était le plus élevé.
- Encore là toi! Ca m’étone de te voir ici après cet après midi.
- Tu ma fait un peur bleue, Maarkh. J’ai cru que c’était le commerçant de toute a l’heure. Qu’est-ce que tu me veux maintenant ?
- Je voulais juste savoir pourquoi un des hommes les plus recherchés du quartier se balade ici à une heure aussi tardive. Et puis Mikimo m’avait dit que je pourais te trouver ici : j’avais a te parler.
- Et pourquoi donc ?
- J’ai entendu dire que tu voulais partir d’Orodreth, et je voulais savoir si c’était vrai.
- C’est possible que je parte définitivement d’ici si c’est ce que tu veux dire.
- Et tu compte aller où ? Tu reste dans le royaume j’espere.
- Je n’en sais rien ; je ne sais pas du tout où je pourais aller. Mais je ne partirais peut-être pas après tout : d’un coté j’ai les gardes et les marchands qui me poursuivent partout et de l’autre il y a mes amis : toi Mikimo et les autres si je pars tout seul je risque de m’enuier ferme sans vous. Donc je crois que je vais rester ici.
- Bien sûr que tu reste ici parce que nous on avait pas trop envie de bouger tu sais.
- Comment ça ! qu’est-ce que tu veux dire ?
- Tu t’imaginais qu’on allait te laisser partir comme ça, tout seul, sans nous ? Tu sais c’est bien simple si tu vas quelque pars nous aussi on vient, s’exclama une voix qui semblait sortir d’une echope.
- Tiens bonjour Nawë tu es la depuis quand ?
- J’ai commencé à te suivre dès que tu as quitté Mikimo.
- C’est bien gentil tout ça mais j’ai eu une journée chargée moi donc bonne nuit.
Après un fou-rire passager tout trois partirent en courant dans une direction différente lorsqu’ils eurent entendus les gardes approcher.

désolé c'est uin peu long tous ça