Une cité d’elfes bien commune.
Une cabane bien familière.
Un sang qui coule dans me veines rependu sur le plancher.
« pffff, tout cela est bien décevant. Pas plus de dix minutes, pas même un coup ayant atteint sa cible… vous êtes trop prévisible père, mère vous n’avez jamais été si inefficace. »
Deux paires d’yeux ronds le regardent depuis le sol de la cuisine, ils sont vitreux, autour des deux cadavres se repend abondement le sang noble de la famille.
« Puisqu’il en est ainsi et pas autrement on peut dire que ce qui vous appartient est désormais mien n’est ce pas ? » *hochement de tête approbateur* « je vais donc a présent vous laisser et vous souhaiter une bonne après midi… ne faites pas cette tête mère, bien sur que je vais rentrer pour le banquet. » *clin d’œil au cadavre de la mère*
D’un arbre à l’autre, de branches en branches, de pensées en pensées il vole agilement comme un poisson dans l’eau. Habitué a son environnement. Il hoche la tête vers certains visages qu’il reconnaît, montre son dédain à d’autres. Son visage est plein de sang, ainsi que ses vêtements. Sa lame encore souillée à la main il ne manque pas de susciter la suspicion des gardes. Haussant les épaules alors que ceux-ci lui demande de les suivre calmement gamin, on ne va pas te faire de mal, il plante sa dague dans la gorge du premier et fait un bisou sur le front du deuxième avant de poursuivre sa route. Il rie de bon cœur alors que la cité à ses trousses le cherche dans la forêt avoisinante.
Guidé par son instinct son chemin se poursuit sans plus d’encombres, il ne recherche rien de spécial et cela l’aide grandement a ne pas être déçu par ce qu’il trouve. Une morne pleine, pleine d’elfes qui plus est. Quel endroit ennuyeux. Un elfe vient a lui et lui propose une place dans un rassemblement elfique qui a l’air pour le moins inintéressant, il lui dit qu’on lui a fait un affront. Son esprit s’évade et n’écoute pas la suite qui ne saura relever le niveau. Sa réponse vient instinctivement sans même avoir a la penser. Il aurait aimer pouvoir lui planter la pointe de sa dague dans l’œil pour retrouver un peu de son humeur guillerette mais quelque chose l’en empêche, il ne comprend pas, hausse les épaules et s’éloigne.
Plus loin d’autres créatures l’attendent, elle n’ont pas l’air commode, cela tombe bien il n’a pas envi de faire du rangement.
_________________ Mais oui bien sur je suis votre ami, mais non je n'ai pas percé votre main par haine, allons allons, reprenez vous, pour quoi allez vous passer a hurler ainsi? un peu de tenu que diable.
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