De mère magicienne et de père guerrier, VulKain fait parti des nombreux équilibrés que Frowyn, dieu de la science et créateur de la race humaine, a créé.
Il a le contrôle d'un élément dévastateur : l'eau.
La rencontre d’un demi-dieu :
Quand il n'avait que 5 ans, VulKain (qui s'appelait, en ce temps là, Vul) est tombé malencontreusement dans la rivière qui sépare en 2 les terres de Lorndor. Avant de couler, Vul vit le grand dragon des rivières :
Il était majestueux, ses ailes lui permettait de nager plus vite que n'importe quels amphibiens, ses yeux étaient d'un bleu cobalt si profond que personne ne pourrait reproduire en tant que peinture ou ornement, sa gueule n'avait pas des dents mais des lames si solides que rien ne résistait à la pression de sa mâchoire, enfin son corps était recouvert d'écailles d'un bleu topaze aussi résistantes que l'armure de Malgr, dieu destructeur.
Puis le dragon, impressionné de voir un si petit être dans sa rivière qui était pourtant au milieu d'un terrible champs de bataille, sauva ce très jeune homme et le ramena dans le royaume humain grâce à un envol majestueux non pas sans risque car l'écaille de dragon est une matière très rare sur Lorndor donc très prisé. Le Dragon donna alors le pouvoir de l'eau à Vul et le renomma VulKain, en l'honneur de son dragonnet chassé et tué par la Horde.
Mais le dragon fit une erreur en ramenant VulKain en territoire humain car il ne lui restait plus que sa mère elfe. Son père humain mourut 2 ans après sa naissance, pendant le combat contre le gigantesque Cerbère.
VulKain, perdu dans cet endroit qui lui était étranger, car il avait jusque là grandit dans le royaume elfe, fut recueillit par un vieil homme nommé : Aluccello
L’éducation :
Aluccello était un des meilleurs dresseurs d’animaux de Lorndor, il préférait grandement les oiseaux. Il disait toujours : « les oiseaux sont les maîtres du monde, ils peuvent tout voir, tout entendre et peuvent même transporter des humanoïdes de petite taille dans les air. » .
Il était plutôt petit on aurait même dit que c’était un « grand gnome » car sa longue barbe traînait sur le sol à chacun de ses pas et sa canne, trop petite pour être humaine mais pas assez tordue pour être naine, était sûrement gnome.
Au fil des années, VulKain appris beaucoup de chose d’Aluccello et de sa manière de dresser les oiseaux, mais à chaque année qui passait, Aluccello savait qu’il allait bientôt mourir.
11 ans passèrent.
Grâce à son défunt père adoptif, qui mourut 2 ans plutôt, VulKain savait beaucoup au sujet de divers volatiles. Pendant ces 11 ans, VulKain se lia d’amitié avec un perroquet nommé : vent céleste. Ce perroquet n’était pas commun, c’était un perroquet des premières et lointaines forêt elfes ce qui lui conférait une grande intelligence et une haute vitesse de vol. Sa robe n’était faite que de couleurs flamboyantes et chaleureuses.
Cronoriel :
Durant ces 11 ans VulKain fit d’étranges rencontres comme celle d’un homme qui se nommait Cronoriel.
Cronoriel était un farouche équilibré humain mais il était aussi très connu pour être le « cartographe », il parcourait Lorndor pour découvrir de nouvelles contrés oubliés. Il était très populaire, toutes les créatures de Lorndor lui envoyaient des messages pour révéler les zones inconnues de sa carte, notamment des grottes d’ermite ou des châteaux reclus dans les grandes terres du sud. Chaque jour il recevait maintes lettres et il avait toujours le courage de les déchiffrer, bien que cela ne fût pas toujours facile, et de les appliquer à sa carte affichée dans toutes les tavernes.
Il prétendait être le frère de VulKain mais VulKain, ayant été séparé très jeune de ses parents, ne connaissait rien de sa vraie famille. VulKain ne savait plus que croire, était il vraiment son frère ?
Cronoriel, voyant que VulKain ne le croyait que très peu, commença à fredonner un chant elfique, inventé par sa propre mère. VulKain reconnu cet air : c’était un air de musique qui n’existait que dans ses plus profond souvenir. Cronoriel n’aurait jamais pu le connaître si il n’était pas son frère, le mystère fut instantanément éclaircit.
Le départ :
VulKain et Cronoriel décidèrent de partir, accompagnés par vent céleste, à la découverte de nouveaux lieux et de nouvelles civilisations. La rumeur se répandit à Hernolia, petit village du royaume humain. « Le savoir d’Aluccello va partir dans la tombe de ce petit et se sera un gâchis de plus ! » disaient les anciens. VulKain n’était pas apprécié car personne ne connaissait ses origines, il était trop différent.
Cronoriel savait déjà qu’il y avait le royaume elfe au sud, mais il ne voulait plus y revenir car, bien qu’il aie grandit dans ce royaume, il n’y était plus vraiment accepté, il n’était plus que le demi elfe qui faisait des carte ouvertes à tous et non pas seulement aux elfes. VulKain, pour ne pas l’irriter, décida de le suivre vers le nord.
Le nain :
VulKain et ses compagnons arrivèrent à l’endroit où devait se trouver le royaume nain mais ils ne virent que de gigantesques montagnes. Vent céleste, toujours aux aguets, aperçu un petit être, au loin, qui essayait de se cachait derrière un rocher de granit noir. Sa tentative de rester dissimulé était pitoyable, elle devenait presque comique quand sa grande barbe rousse se mit à dépasser largement du rocher à cause d’un geste trop brusque. Vent céleste se manifesta et s’envola dans la direction du nabot. L’oiseau vit un nain, il portait une armure d’acier blanc flamboyant et un casque avec les insignes du clan de la Moria. Lorsque VulKain et Cronoriel arrivèrent le nain se mit à courir et entra dans les montagnes par une énorme porte incrusté dans la falaise. VulKain partit à sa poursuite, accompagné de son oiseau, Cronoriel, ne voulant pas le suivre, lui avoua qu’il était déjà venu au royaume nain et que ça ne pourrait que retarder l’avancement de sa carte.
Tandis que VulKain se présenta à l’entrée du royaume nain, Cronoriel partit encore plus au nord à la découverte des gnomes. La porte, d’un métal inconnu des humains, était inviolable, le plus gros bélier ne la ferait pas même trembler. VulKain, inquiet de ne pas pouvoir entré commença par donner des petits coups de pied sur la porte. Soudain, il entendit une petite voix :
« Oui ? C’est pour quoi ?
- Je suis un équilibré humain désireux de voir le royaume de Balgrim, Dieux de la terre. » annonça VulKain.
Il connaissait ce dieu grâce à Aluccello, il disait toujours que les créatures de Bactic, dieu de la malice et créateur des gnomes, bien que plus petites en taille, étaient nettement supérieur, de part leur intelligence, leur sagesse et leur bon sens, que celles du dieu Balgrim, dieu de la terre et créateur des nains qui n’étaient, pour lui, que de stupides forgerons.
« Je vous laisse entrer si cette oiseau reste dehors, je ne supporte pas ses couleurs ! » répliqua le nain. Vent céleste vexé par cet affront poussa un grand cri et partit se percher plus haut sur une branche qui avait poussée sur la montagne.
« C’est d’accord, répondit VulKain, il est déjà partit.
- C’est bon ? alors entrez. »
Une petite porte s’ouvra dans la grande qui n’était qu’un trompe l’œil et le nain invita VulKain à le rejoindre. VulKain se cogna la tête plusieurs fois avant d’arriver à la vraie entrée du royaume nain.
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La suite plus tard

(toute critique accepté pour améliorer le texte bien sûr)