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Auteur: | Prince John [ Lun 06 Juin, 2005 17:26 ] |
Sujet du message: | Poésie |
![]() ![]() Dans la brume épaisse, les bannières sont tombées, Elles, tantôt si fières, brillantes comme l'or La veille de ce jour, sont tombées à l'aurore. Aucun être vivant sur ce champ n'est resté. Le dernier combattant meurt dans un cri ultime Et tombe face contre terre, une épée dans le coeur. Pourquoi tant de tueries? Pourquoi tant de malheur; Quand on peut aspirer à un avanir sublime? L'ombre de la Faucheuse, tel un oiseau de proie, Plane sur le champ de bataille, nargant les rois Des anciennes nations maintenant décimées. Les loups et les rapaces entament leur festin, Ce terrible massacre apaisera leur faim. Le destin de ces hommes est ainsi achevé. PS: Je vous invite tous à poster des poésies de votre invention. ![]() |
Auteur: | Riddick [ Mer 08 Juin, 2005 20:04 ] |
Sujet du message: | |
Riddick qui passait par là à cette période étrange entre le jour et la nuit entend le barde, s'arréte un instant, puis repart dans le crépuscule se disant que ce jeune homme n'a peut être pas tout à fait tort et espérant que celui-ci ne perde pas l'inspiration qui l'habite.... |
Auteur: | montaigus [ Mer 08 Juin, 2005 20:40 ] |
Sujet du message: | |
on pose toutes les poesie imaginable qu'on a faites? celle sortant d'un jeu, Myriadelle étant ma déesse : Priere à Myriadelle ô pretresse de l'eau, ô Myriadelle que tout les autres dieu, plus proche des mortels bien moins orgueilleuse mais tout aussi belle qu'Ecplypsë, beautée éternelle déesse de l'élément liquide celui qui donne la vie par vos pensée limpide je suis et reste ébahit mieux qu'Arkan qui, dieu créateur de ses larme créa les races inferieures vous de vos sublimes larme mithique créâtes les eaux de ce monde féérique moi montaigus, encore jeune en ce lieu invetéré, ignoré de ses dieux m'adresse à votre coeur, dure conquête pour que vous me guidiez dans ma quête Militaire Devant mes enemis, rudes militaires, Peut-être est-ce folie, peut-être sucidaire Mais par la foi, dont chaque déesse est une mère Perd ma peur et devient téméraire Si chaque enemi tué devait être une offrande Alors pour vous Crépuscule serait dépeuplé De toutes créature, par Kalishmar, damnées Il suffirait d'un ordre pour que je les pourfende retour en enfer Retourné au purgatoire Sortit,par ma nature noire Voyant ces myriade d'ailes Mais ignorant cette nature si belle Remontant vers le Nord Terrassant, enchaînant les morts Pour retrouver mes compagnons Accompagnés de ce dragon Longeant les eaux Par vos larmes, une riviere sacrée Par vos yeux, des perles nacrées Ne sentant plus le vent sur ma peau De druide je suis devenu spectre De mage je passe a guerrier Lorsque a nouveau je devrait paraitre Mes ennemis veront leur destinée Forum Qu'Arkan, vous êtes bien aussi créatrice Que Kalishmar, vous êtes bien aussi destrustrice Qu'Ecplipsë, bien aussi seductrice Plus resistante que ces glacier qui sont vos fils Ce dragon, par vos sort aux enfers Contre un humain à croisé le fer Guidé par votre main legere comme l'air incarnation de la bonté sur terre Enfer De druide je suis devenu spectre De mage je passe a guerrier Lorsque a nouveau je devrait paraitre Mes ennemis veront leur destinée Loyalement, j'ai combattu Malheuresement j'était fourbu Et par un dernier effort J'essayait de repousser ma mort Pour vous, je sortirai des enfers Pour vous, à nouveau je croiserai le fer Pour vous, de toutes les eaux, mère Pour vous, je ne serait qu'un serf Que vienne a moi le soleil Qu'il soit Or ou vermeille Qu'a nouveau votre chant parvienne a mes oreilles Qu'encore une fois je m'emerveille bataille des enfer je suis sortit j'ai leuré mes ennemi pour decouvrir un petit dragon de la nuit mais celui-ci rouge comme le sang était ami je combat au coté de ce dragon tel que le font mes compagnon druides agé et experimentés et moi farouche mais invétéré Par vos larmes, une riviere sacrée Par vos yeux, des perles nacrées charmé mais désabusé Car évité par vos bontés je me sent bien seul bien que tout les soir ne pouvant prier à chaque coups ecrasé par une meule je vous prie de m'aider moi montaigus, encore jeune en ce lieu invetéré, ignoré de ses dieux m'adresse à votre coeur, dure conquête pour que vous me guidiez dans ma quête pour une amie (qu'a des idée noire de temps en temps) une fois morte tu perdrai tes amis ceux qui sans hesiter se sacrifient pour une nouvelle amie de choix, le doute n'est pas permi vois les suicidé, ceux qui regretent vois les tué, ceux qui detestent vois les trépassé, ceux qui s'impatientent tu voudrait être comme ceux que la mort vante? ce que tu y gagnera et c'est tout ce que ça sera c'est de ne plus sentir ni la douleur ni la mais jamais plus le vent ne sentira-tu la musique n'entendra-tu toucher ne pourra-tu la mort te sera fidelle jamais elle ne te laissera tomber mais jamais tu n'aura de cadeau d'elle et si tu deprime attend toi a couler revient, esprit vivant, corps mort revient, esprit dechu, esprit en or revient, ici tu ne ferai que reflechir a tes torts revient, ici tu ne pourrait pas revenir sur ton sort peut etre le douleur sera revenue mais tes sens ne seront pas perdus vois les milliards d'esprit qui attendent ici voila... pour les miennes |
Auteur: | pingu [ Ven 10 Juin, 2005 2:34 ] |
Sujet du message: | |
en voila un lieu qui doit etre soutenu. voici deux de mes modestes compositions. Il y a certe redondance, mais bon ... * De la montagne a la plaine Sous la pluie, le vent, le soleil Sous les cimes enneigées Sous la lune malicieuse Sous les étoiles Dames elfiques Sous le regard des oiseaux Sous le chant des grillons Partons mon amis, partons De cols en cols, par monts et vaut Par chemins perdus et routes égarés Au creux de mère montagne Dans les cavernes aux milles éclats Dans les forêts aux grands ages Par royaume enchantés et villes rayonnantes A travers des terres désolés Marchons mon ami, marchons Jusqu’où nous porterons nos pieds Jusqu’aux confins de notre monde Où les mots ne sont plus les même Où les paysages ne nous connaissent pas Marchons pour notre bonheur Partons découvrir la fin de la route En a t elle une ? Nous te le dirons mon amis, nous te le dirons * * Par mille et un sentier j'ai couru Par mont et vaux j'ai combattu L'ennemi est tombé, sous les coups reçu Car Hache et Epées ont vaincu Depuis maintes lunes que je parcours De long en large les terres de Lordnor Depuis moult années que je cours Vers je ne sais quel sort Alors je continue mon périple solitaire Et je chante aux oiseaux ce petit air Qui sait ou le chemin mènera ? Qui sait dans quel destin l'on se perdra ? * |
Auteur: | Prince John [ Lun 13 Juin, 2005 17:22 ] |
Sujet du message: | |
De mon lointain village… De mon lointain village, à l’Est du Lorndor, Mes amis et moi-même, sommes partis armés Depuis déjà dix lunes ; nous avons vu la Mort Conduire dans son royaume, soldats de toutes armées. De mon lointain village, à l’Est du Lorndor, Je rêve pendant les nuits ; et je pense regretter Cette vie sans tueries, plus précieuse que l’or Que les plus beau joyaux, et que j’ai rejeté. De mon lointain village, à l’Est du Lorndor, De mes frère, de mes sœurs, des amis trépassés, De mes anciens frères d’arme qui maintenant sont morts, J’en garde le souvenir des pensées partagées. Dans mon lointain village, à l’Est du Lorndor, Je reviendrai un jour, chez ceux que j’ai aimé Je reviendrai couvert de gloire, d’honneur et d’or Et finirai mes jours dans une belle vie aisée. |
Auteur: | Pied-Plat [ Mer 03 Août, 2005 15:34 ] |
Sujet du message: | |
Courant de par les bois, les plaines et les cols, Fuyant la Horde Sombre, de ténèbres vêtue, Je tentais de rallier un village perdu, Lorsque je rencontrai une meute de trolls. Lâche, peut-être, mais sensé, sous un tronc me cachai, Et attendis qu'elle passe pour terminer ma route. Mais la cité en flammes ne laissait aucun doute : La Horde, de sa haine, l'espoir avait brûlé ... Alors je repartis, l'âme en pleurs, le coeur lourd, Et atteignis enfin un espace d'amour : Aux confins du Lorndor demeuraient des sauveurs ... Et tandis que je leur comptais tous mes malheurs, L'extinction de mon peuple, la mort de mes amis, Je savais que j'allai rejoindre leur parti ... Pied-Plat, Gnome, seul survivant de sa famille ... |
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