Forum Heroes' Chronicles

Petit manuel de magie entre amis

La magie remonte à l’origine des temps. Il faut revenir au commencement du commencement avant même que quoi que ce soit n’existe. Laissez vous emporter vers cette époque. Essayez d’imaginer un endroit ou rien n’existe. Le simple fait de dire que rien n’existe et déjà loin de ce qu’il y avait en ce temps. Il faut comprendre que le rien ne peut exister que si son opposé existe, or en cette époque, ce trouvant avant le début du commencement, il n’existait même pas rien, un vide complet entouré de vide lui-même défini par du vide aux frontières duquel on ne trouvait que du vide. Et bien même cette image reste floue par rapport à ce qu’il y avait. La magie remonte à ce moment. De ce que nous allons définir comme le néant est, un jour, apparut l’opposé du néant, le monde que nous connaissons aujourd’hui. A un moment, une chose, une particule, un assemblage gazeux, a dû se demander pourquoi elle ne pourrait pas exister à par entière en tant qu’entité indépendante dans un système ou rien d’autre ne pouvait convenir et être. A l’instant même ou cette entité que nous appellerons Alphie par commodité, et bien a l’instant même où Alphie commença a se demander « si », à cette instant infime délimitant l’avant de l’après et ayant la texture d’une bulle de savon explosant (ce qui serait une image aussi proche de cette instant que peux l’être la moule de l’oiseau, ce sont deux animaux mais la comparaison s’arrête là. Et bien l’explosion de notre bulle de savon est aussi proche de la prise de conscience d’Alphie de la possibilité d’avoir une conscience que peut l’être toute autres limites temporelles). A cet instant infime est né la magie. La magie est le fondement même du monde que nous connaissons. Elle en est l’origine, la vie, la raison d’être, le carburant et la fin. En un seul mot nous somme capable de résumer notre monde. La magie est cette chose que nous ne connaissons pas, que nous ne comprenons pas et que d’illustres mages on rendu célèbre grâce à des démonstration de pouvoir.

I)le commencement de l’art magique


Au début donc Alphie se laissa porté par la découverte de sa conscience propre. Puis rapidement des parties d’Alphie de mirent a vouloirs, elles aussi, leurs consciences. En refusant cette état Alphie aurait nié son propre état. Il fut donc possible à des parties d’Alphie de coexister de manière autonome dans un ensemble qui lui-même vivait de manière autonome dans un grand vide qui faisait on ne sait toujours pas très bien quoi et qui doit toujours le faire aujourd’hui. Ces parties d’Alphie développèrent leurs propres conceptions de l’existence. Pour ce faire elles durent elle aussi accepter que des parties de elle-même veuillent accéder à l’autonomie. Il en fut fait ainsi de suite jusqu'à nous.
Vous vous doutez bien que toutes ces prisent de conscience ne se firent pas en un claquement de doigts et que toutes ces entité ne pouvait vivrent dans l’espace d’origine qui définissez Alphie. Ce dernier dû, pour permettre à ses enfants de croître, s’étendre jusqu’à limite du grand néant originel. Si Alphie combla ce néant il existe toujours une part infinitésimal de ce néant qui nous sépare de la frontière entre ce néant et le néant. Mais revenons donc a nous car après tout il faut l’admettre ces dans la contemplation de nos propres faits que nous trouvons le plus de plaisir. Donc nous allons sauter quelque étapes pour arriver a la vie sous des formes que nous connaissons et allons délimiter celle là en deux grand groupe les magiciens et les non magiciens.




1)les premiers magiciens

Les premiers magiciens ne possédaient pas la connaissance de la conception de la magie que nous avons aujourd’hui. Ils procédaient par tâtonnement. Il faut aussi voir qu’entre l’apparition des êtres vivants et leurs prisent de conscience de la magie il y eut un certain temps. De nombreux mystères non résolut datant de cette époque auraient trouvés leurs réponses dans la magie mais les vivants de l’époque n’en avaient pas la conscience. Les premiers indices tangibles de l’existence de la magie furent trouvé par les dragons. Ces derniers trouvèrent des traces de magies dans la nature même de leurs existences. Il faut dirent qu’étant doté d’une longévité particulièrement longue ils avaient le temps de se poser des questions sur la nature de leurs existences et sur les raisons de la raison de cette dernière. Ils finirent par en déduire que la magie était ce qui leurs permettaient de voler mais aussi de vivre et de se protéger des différents tourments que leurs présences pouvaient entraîner. En effet on ne peut pas placer une importante source de magie en un point sans altérer automatiquement les autres flux magique passant à proximités. On trouve là l’une des explications de la disparition des dragons de nos cieux. En effet ces derniers on comprit que leurs présences empêcherai tout développement des arts magiques chez les autres espèces. On peut donc considérer que les dragons sont les premiers vrais magiciens de nos mondes et que ce sont sûrement ceux qui ont le plus compris l’essence même de la magie et ce que cela impliquait comme responsabilité pour eux.

2)les différents arts magiques

Parmi les autres espèces peuplant alors le monde et le peuplant encore (il n’est pas d’intérêt de s’arrêter sur les espèces ayant disparut leurs arts magique ayant été assimilé depuis) Il est intéressant de s’arrêter sur la magie tel qu’elle est pratiqué par les elfes. Ces derniers, à l’origine, prenaient le temps de regarder la nature. On pense même que c’est la leurs raisons d’exister. Un elfe ne pourrait se sentir bien dans un environnement ou la nature aurait été entièrement domestiquée, contrôlée et aseptisée. Les elfes sont comme les dragons. Ils sont capables de vivre extrêmement longtemps. Leur magie est comme eux. Elle prend son essence dans la nature et possède un effet lent et discret. En effet leurs longévité leurs permet de tisser des sorts sur la durée. Grâce à cela ils peuvent concevoir des sorts d’une particulière complexité. La contrepartie de cette conception de la magie se trouve dans la difficulté qu’ils éprouvent pour lancer des sorts rapides. En effet pour ce faire ils leurs faut se retrouver a plusieurs et être en parfaite symbiose car chaque elfes se retrouve a tisser une partie d’un tout. C’est comme de tisser une tapisserie. Chaque elfes travaillent dans son coins mais lorsque l’on prend du recul on peut observer que cet immense patchwork a pour effet de dresser un sort. Ainsi même un sort simple peut être compliqué par un elfe car ils doivent le concevoir à plusieurs et s’assurer que tous les morceaux s’assembleront dans un tout.
Les elfes tirent leurs conceptions de la magie de la nature. En effet les premiers sorts qu’ils lancèrent avaient pour but de permettre à la nature un meilleur développement. Ce n’est que lors de la disparition des dragons qu’une niche magique se trouva ouverte. Il leur fallut un certain temps pour en appréhender la globalité mais lorsqu’on a l’éternité on peut étudier tranquillement ce qu’on veux.

Les nains, quand à eux, ont une autre approche de la magie. Ils sont issus de la pierre et leur magie en possède la consistance. Ils sont capables de jeter des sorts particulièrement durs pour autant que la magie puisse avoir une consistance. Mais comme la pierre leur magie ne peut se trouver seul dans l’air. Si t’elle venait a être le cas leurs magie tomberait au sol sans avoir plus d’effets qu’un coup de pieds dans l’eau. C’est à cause de cela que les nains devinrent de fin concepteur d’artefact magique. Ils sont capables de tisser un sort d’une infini beauté de la même manière qu’ils forgent les objets les plus beaux (les elfes ont appris auprès des nains l’art de fabriquer des armes et autres objets). La magie naine ne pris pas l’essor que peut connaître la magie elfe car ils étaient plus intéressés par les minerais que par la magie. C’est pour cela que les armes elfiques forgés par des nains sont les armes possédant la plus grande finesse tant sur le point de vue de la ciselure de l’arme que celui du sort qui l’englobe.

Il existe une troisième conception de la magie. C’est celle des espèces ayant une durée de vie plus courte que les autres. La magie humaine en est le plus bel exemple. En effet il leurs fallut développer une manière de concevoir la magie rapidement. Ils n’avaient pas le temps de lancer des sorts longs. Il leurs fallait de l’immédiat. Afin de régler le problème de l’artefact magique imaginé par les nains ils se mirent à utiliser ce qu’ils avaient de plus facilement atteignable sous la main. Leurs propres corps devinrent le métier sur lequel ils se mirent à ouvrager leur magie.

II)La magie humaine

1)évolution de la magie

Intéressons nous maintenant à la magie humaine car c’est celle qui est le plus facilement observable. En effet elle se lance rapidement, possède des effets remarquables et les autres espèces l’ont adoptée pour palier les manques de leurs propres conceptions de la magie.
Les premiers sorts des humains avaient des effets infimes sur les lanceurs de sort. Ils se servaient des danses ancestrales et traditionnelles comme vecteurs. Les premiers sort avaient surtout pour effet de permettre a celui qui le lançait de mieux se sentir, ou alors de rentrer dans un état de transe ayant des effet différent selon ce que recherché le lanceur (berbekeurs et autres fanatiques ne sont que des extrêmes de l’utilisation cette magie). Les premiers à se faire appeler mages furent ceux qui possédaient une plus grande sensibilité dans la pratique de ces danses. Rapidement ils les épurèrent de manière à pouvoir lancer un sort simple avec une combinaison simple de mouvement rendant ainsi possible la complexification des sorts. Ils se mirent aussi à utiliser le papier comme artefact de sort. Tissant sur ce dernier le sort qu’ils voulaient lancer et écrivant dessus la clé pour l’activer.

Les humains ne purent se résoudre à rester à l’utilisation de ces sorts simples et de ces artefacts dont la puissance était limitée. Ils étaient comme tous les humains. Ils leurs fallaient toujours en remontrer à leurs voisins. Au fil des ans les mages s’enfermèrent dans un cercle vicieux. Ils se mirent à toujours chercher à réaliser un sort plus puissant ou plus compliqué que celui des autres afin de réussir à laisser leurs noms dans les annales. De plus la difficulté des nouveaux sort eux pour effet de diminuer l’enseignement. Les mages ne prirent plus pour disciple que les meilleurs de ceux qui venaient les voir. En quelque siècle la magie passa d’une pratique locale ayant pour but de permettre à des aptitudes naturelles de mieux se développer, à une pratique sombre et cachée. Les mages se firent construire de grandes tours et s’y enfermèrent avec leurs disciples afin de, disaient-ils, toujours développer et affiner l’art de la magie. La magie devint une chose nébuleuse et obscure que l’on n’évoquait plus que pour parler de chose particulièrement compliquée auxquelles on ne comprenait rien.

la magie de nos jours

Aujourd’hui la course à la puissance magique a atteint son apogée. Les mages font des sorts tellement compliqués qu’ils nécessitent des volumes entiers pour les décrirent. Le summum fut atteint avec le mage Alexry III. Il voulut réaliser un sort qui avait pour but de lui permettre de maîtriser l’ensemble des arts magiques des 5 éléments. Il fallut 30 Sorcier travaillant pendant 20 ans pour réussir à le décrire. Si on empilait les volumes dans lesquels ce sort est compilé on pourrait atteindre la lune et en revenir que l’on n’aurait encore pas atteint la fin de ce sort.
A la fin de ces 20 années de travail Alexry, alors au sommet de sa maîtrise voulut lancer ce sort. IL lui fallut 20 années de plus pour s’exécuter. Ce qui advint de lui nul ne le sait mais lorsqu’il eut fini de réaliser l’ensemble des incantations magique une explosion d’une violence tel qu’elle laissa un trou de 50 mètre de fond sur 3 lieux de diamètre se produisit. On passa 20 autres années à essayer de comprendre ce qui se passait et on pense aujourd’hui qu’Alexry oublia de croiser ses doigts de pieds lors de l’énonciation de la trente deuxième sonate. Cela eut pour effet de déplacer un faisceau tellurique se trouvant sous lui. Lorsqu’il chercha à activer le sort cet oubli fit se rompre le nœud et provoqua l’explosion. On présume qu’il se trouve toujours au milieu du cratère bloqué dans une faille spatio-temporelle mais comme personne ne retenta jamais l’expérience on ne put savoir si cette hypothèse était la bonne.
On peut de même observer cette volonté de supériorité dans la domination des arts en regardant deux magiciens ce battre en duel. Cela ne tient plus de la maîtrise de la magie mais d’une course d’endurance. En effet sortira vainqueur de ce combat celui des deux qui est capable de réaliser le sort le plus long.

A l’inverse de cette tendance à la complexité de la magie on peut aussi observer aujourd’hui une augmentation en puissance des mages. En effet plus ces deniers avance dans leurs connaissances de la magie et plus ils sont capables de maîtriser cette dernière. Un grand mage du siècle dernier passera pour un simple magillion de bas étage. Nul ne cherche plus a comprendre l’essence de la magie mai à prouver qu’ils sont capable de lancer des grand trait d’énergie dans l’air en en dominant les effets les plus significatifs.

III)les différents types de magies

1)la magie de feu

Il s’agit là de la magie la plus impressionnante car elle consiste à maîtriser une chose dont nous ne concevons même pas la nature. Elle consiste en effet à utiliser les décharges d’énergie de la magie pour échauffer la matière se trouvant à porté de main. On peut ainsi enflammer du bois mais aussi toute matière naturellement inflammable. SI par hasard on lance ce sort sur une matière qui ne se consumerait pas en temps normal on utilise l’air se trouvant en contact avec cette matière pour l’échauffer et ainsi obtenir l’effet voulu. On dit même qu’il est possible de faire brûler de l’eau mais cela demande une tel d’ébauche d’énergie pour un effet fort peu impressionnant que l’on se demande a quoi peut cela peu servir.

2)la magie de la terre

Il s’agit de la magie la plus facile à aborder car son sujet est présent en tout temps et en tout lieu. Un mage maîtrisant cette magie pourrait élever une tour pour s’abriter en une nuit. Malheureusement si on peut l’aborder facilement ça maîtrise reste particulièrement délicate car la terre possède en elle des forces qu’il faut savoir manier avec délicatesse. Tout jeune mage voulant se spécialiser dans ce domaine devra garder en mémoire l’histoire de cet apprenti qui voulant élever une butte de terre ne fit pas attention aux résistances se trouvant en place. La mer qui se trouve aujourd’hui à l’emplacement de cet essai porte le nom de ce jeune mage. Les plus grand mages s’étant spécialisé dans cet branche particulière de la magie faillir réussir à maîtriser le feu par le même temps car c’est là le fondement de l’énergie terrestre.

3)la magie de l’eau

Si l’effet de cette magie peut sembler dérisoire au commencement, l’apprenti ne devra pas se décourager car la maîtrise de cette magie permet de réaliser des dégâts considérables. En effet si une goutte d’eau ne peut rien faire d’autre que d’aider à faire fondre un morceau de sucre, l’accumulation de ces dernières peux emporter tout obstacle se trouvant sur son chemin. Une grande maîtrise de l’eau peut permettre de maîtriser la terre car des torrents de boues deviennent alors contrôlables. On peut ainsi, par des biais détourner obtenir une pseudo maîtrise de cet autre art. Le mage ne devra pourtant pas croire qu’il en maîtrise toute les nuances car il risquerai alors de se retrouver enterré par un oublie dans les difficulté de la magie de l’eau. En effet il est difficile de donner une consistance à une chose qui n’est pas préhensible.

4)la magie de l’air

Comme pour le feu il s’agit d’une magie on le praticien doit appréhender la substance de quelque chose de non palpable. Dans cette magie la difficulté réside dans le fait que l’on ne peut pas voir ce que l’on tente de former et de maîtriser. Il ne faut pas pour autant négliger la puissance de cette magie car un sort simple mais que l’on oublierait dans un coin pourrait avoir des effets dévastateurs. En effet si l’on regarde dans la nature on observe que le vent possède un effet lent mais implacable. C’est lui qui modèle les vagues mais aussi les montagnes. Même les arbres sont marqués par son passage. Il est donc judicieux pour celui qui souhaiterait se spécialiser dans cette branche de prendre le temps d’étudier la manière dont la nature se comporte sous l’action du vent afin de ne pas se retrouver pris dans une tempête alors qu’il ne voulait créer qu’une légère brise.

5)la magie de l’esprit

Il s’agit de la magie la plus dure à appréhender mais aussi la plus efficace. En effet l’utilisation de cette magie permet à celui qui sait la manier de terrasser son adversaire avec un minimum d’énergie. Elle demande par contre a celui qui voudrait envisager de l’utiliser une finesse des plus importante car il doit connaître parfaitement l’ensemble des méandres de l’esprit pour pouvoir éviter tout les pièges que ce derniers pourrait vouloir tendre. En cas d’échec lors de l’utilisation de cette magie l’effet pour le mage serait des plus dévastateur et c’est toute une partie de lui-même qu’il risque de perdre, se fermant pas là même les portes de cette magie.

IV)Principe de la magie


Peu importe le type de magie que l’on voudra maîtriser il n’existe que deux façon de pratiquer cette dernière. La première est celle que tout le monde connaît. Elle consiste à assembler autant d’énergie en un seul point et à l’envoyer via un artefact virtuel ou non sur le point ou l’on désire que s’applique les effets de cette magie. Cette manière de concevoir la magie à pour conséquence de rendre la magie accessible seulement à un petit nombre de personne. En effet si l’on veut par exemple créer une tempête il faut que la personne qui lance le sort possède la capacité de concentration nécessaire à accumuler l’énergie suffisante à créer une tempête.
Mais la magie n’est pas que cette débauche d’énergie. Elle existe aussi chez tout le monde. La magie en effet ne se limite pas qu’à ces arts étudiés par les magiciens et pratiqués par toutes les espèces. En effet il existe un magie beaucoup plus vieille que les mages de tout temps ont négligé. En commettant cet oubli ils se sont fermés la compréhension pleine de la magie. Il se sont attaché à ce qui était visible car c’était quelque chose qu’ils pouvaient voir et donc quantifier mesurer et disséquer. Cette volonté de toujours tout mesurer et contrôler par un système de jauges permet une approche de la magie mais laisse dans l’ombre tout ce qui est ressentiment.
En effet il existe une magie simple de tout les jours qu’il est nécessaire de comprendre pour pouvoir appréhender la magie dans son ensemble. Cette magie repose en nous. C’est celle qui nous attache aux choses et aux gens. En effet comment expliquer autrement le lien qui peut unir une mère et son enfant, que vous soyez capable de savoir avant même que vous ne le voyez que quelqu’un n’est pas en forme ou qu’une personne que vous aimez soit dans le chagrin ou dans le besoins et que vous deviez venir auprès d’elle. De même comment expliquer que des événements de la vie quotidienne se produisent car vous l’ayez souhaité. Ou que quelqu’un subissent parfois un évènement que vous avez voulu lui infliger comme par exemple le voir tomber dans l’escalier au moment ou vous auriez souhaité le poussé. Il reste tout aussi étrange que lorsqu’on pense à une personne que l’on a pas vu depuis longtemps cette dernière apparaisse soudainement en disant qu’elle passait par là par hasard et qu’elle venait vous dire un petit bonjour.
Certains verront dans cette énumération une liste de pure coïncidence. Mais cela peut être une explication il est quand même intéressant de voir que ces événement n’arrivent pas que rarement et que nous en ayons tous des exemple dans notre vie de tout les jours. Il faut donc se demander ou s’arrête la coïncidence et ou commence un phénomène tenant du surnaturelle et par là même de la magie car n’oublions pas que nous définissons par magie tout phénomène inexplicable.

Mais alors si cela est de la magie en quoi diffère-t-elle de la magie que ceux-là même qui se définissent comme magicien, et qui aiment faire plein de grand mouvement et lancer des traits d’énergie partout, nomment art magique.
Sur ce point, nombreux sont ceux qui ont passé leurs vies à chercher. Il existe deux grandes théories.
La première veut qu’il existe une branche de la magie inconnue de nous. Cette magie serait une magie brut venue de l’origine même des temps et du lien qui nous unirait à Alphie. Cela viendrait à définir Alphie comme le premier de nos dieux. De plus cette théorie repose sur le dogme que la magie originelle serait différente de celle que les magiciens usent et forgent aux grès de leurs envies. Ce dogme, comme tout dogme d’ailleurs (c’est même là la définition d’un dogme) ne repose sur rien, si ce n’est sur l’incapacité de ceux qui l’on émis a trouver une ressemblance entre les deux magies.


La deuxième veut que les deux magies ne soient qu’une seule et même magie. L’impression de différence viendrait justement de notre incapacité à y trouver une ressemblance. Mais les savants qui se sont penché sur la question pensent que cela est dû au fait que nous n’ayons jamais eut de grand mage maîtrisant les arcanes de la magie de l’esprit.

Actuellement aucune de ces deux thèses n’a de prévalence sur l’autre. Elle laisse en suspens cette question et rare sont encore ceux qui prennent le temps de se demander ou se trouve la différence et si cela a une importance. Après tout pourquoi vouloir connaître la nature de quelque chose sur laquelle on ne possède aucune accroche.

V)une nouvelle voie


Il existe une voie que peu de magiciens ont empruntés. Cette voie par à l’opposé de toute les voies actuellement existantes. Selon les principes de cette voie la magie n’est pas forcément une débauche d’énergie. Elle repose sur le principe de l’effet papillon En effet selon ce principe le battement d’aile d’un papillon est capable de créer une tempête. Il en repose de même pour cette manière d’imaginer la magie. Au lieu de concentrer une importante quantité d’énergie il suffit de pousser de manière délicate pour obtenir un effet tout aussi dévastateur. Là où cette version de la magie change c’est dans la manière même de concevoir ce qu’est la magie. La magie ne repose plus sur la capacité d’un homme à engranger de l’énergie et à la restituer mais sur le fait que la magie nous entoure en tout lieu et en tout temps. Elle se déplace nous englobe comme une onde. La magie ne serait qu’une manière de moduler ces ondes et de les organiser dans l’espace.
Si l’on cherche à comprendre la magie selon ce système il suffit juste d’être capable d’ouvrir les yeux. La magie ne devient alors pas plus dure que de tisser une tapisserie. En mettant les bons fils aux bons endroits on obtient ce que l’on veut. On ne tente plus d’imposer une trame à un endroit ou il existe déjà quelque chose mais on influence directement sur l’environnement en tenant compte des contraintes du milieu. De plus il n’existe plus de magies différentes. Mais juste des manière différentes de tisser les sort. Une action ciblée à un endroit donné, en tenant compte des restrictions dû au milieu, entraîne un grand effet.

Conclusion

La magie n’est finalement qu’une manière de regarder les choses et avec un peu de finesse on peut arriver à de grand résultat avec une action simple. En effet en sortant des sentiers battus on se rend compte que la magie n’est pas l’apanage de quelques personnes. Si l’on donne un poisson a quelqu’un il mangera un jour mais si on lui apprend à pêcher il mangera toute sa vie. Il en va de même pour la magie. On peut apprendre à quelqu’un un sort ou alors lui apprendre à voir les flux magiques et ainsi a faire de la magie comme bon lui semble.
Une légende veut qu’un mage, ayant tenté de comprendre la magie de l’esprit, se soit perdu en cour de route. Perdant par là même la compréhension de la magie qu’il voulait tenté de maîtriser. Mais, comme une personne perdant la vue et développant de nouvelle manière d’appréhender la magie, ce mage aurait appris à regarder autour de lui et a voir la magie pour ce qu’elle était. Il aurait alors poussé le principe magique jusqu’à arriver à un point ou il lui suffisait de pousser ou tirer légèrement une flux magique pour arriver à sa fin. La seule pensée que l’on ait gardé de lui est que la magie n’existe pas.