Forum Heroes' Chronicles

Zoncko remit une bûche dans l'atre. La nuit commençaità tomber.
interressé par les propos de Imdéo il se hasarda à demander.

La paqueretologie ? Maudite soit mon inculture ! Je n'y connais rien. Croyez-vous que vous pourriez m'enseigner quelques rudiments ?

La porte s'ouvrit, et Glorfindel et Shandra entrèrent dans l'auberge. Glorfindel s'éclaircit la voix, et salua les personnes présentes. Puis il rougit comme la bûche qui commençait à grésiller dans l'âtre, et se racla une nouvelle fois la gorge.

Euh... Bon, voilà... Nous... Nous avons décidé de... De nous marier!

Ses oreilles fumaient.

Quantum se retourna etonner par ce que venait de dire l'elfe et lui adressa un sourire en ajoutant se félicitations.

Tout en caressant le dos d'HaiiaeL pour lui tenir chaud, Quantum demanda à Imdeo:

'Dit moi la paquerette, quand on en fume, on entre dans un état second?'
Quantum intrigué se méfiait des effets secondaires.

Zoncko entendit la nouvelle de Glorfindel, laissa tomber sa machoire, sa chope par la même occasion. Puis il s'asit lourdemn sur son tabouret puis il pouffa une fois, deux fois... Puis il splosa e rire devant l'expression de ce jeune fiancé !


Ca promet d'être drôle !

Se calmant peu à peu il demanda en souriant

Et c'est pour quand cet heureux évènement ? Vous voulez que je vous réserve l'auberge ?

Puis une idée lui vint et il se hâta d'aller chercher un parchemin et des plumes ainsi que de l'encre et il se mit à l'ouevre, non loin de l'âtreg

Sangoku remercia Thanos puis entendit "vons décidé de... De nous marier!", il tourna la tête et salua les deux elfes en souriant de plus belle

-Un evenement heureux dans un monde qui s'ecroule... c'est rare !

La question de Zoncko les pris totalement au dépourvu : tout à leur bonheur, ils n'avaient absolument pas réfléchi à ce genre de détail. Après tout, tout c'était passé si vite...
Les deux elfes échangèrent un regard embarrassé.

- Heu...

Mais, déjà, Zoncko s'était éclipsé. Il revint bientôt pour s'absorber dans une mystérieuse tâche. Poussée par la curiosité, Shandra s'approcha discrètement et, se haussant sur la pointe des pieds, tenta de voir ce qu'il manigançait par dessus son épaule. Malheureusement, le malicieux tauren s'ingéniait à lui dissimuler ses activités...

Sous sa plume, son croquis prenait forme. Zoncko imaginait déjà...
Voyant que Shandra tentait de découvrir ses secrets, Il se mit debout brusquement et se pencha vers elle, touchant presque son menton du bout du mufle.

Dis donc petite fouine ! Je crois savoir que tu vas te marier, ce n'est pas facile d'autant plus que tu verras, l'homme, quand il se marie, se repose d'avantage sur sa femme... tu vas en faire les frais mais vu ton caractère... Je serais lui, je ferais attntion. Allons va donc le rejoindre, il est si triste de te quitter tout ce temps !

Zoncko lui fit un clin d'oeil et se remit à son ouvrage.

Me faudra du bois de cèdre et de bouleau... pensa-t-il
Il roula ses plans et sortit.
La nuit résonna du son de la hache s'abbatant sur le bois.

Quand? Ils ne s'étaient pas posé la question... Mais puisque l'aubergiste leur proposait de se marier ici, pouquoi pas! Il ne restait plus qu'à trouver une date.

En attendant, l'aubergiste était parti dans un coin, et bricolait quelque chose; Shandra s'approcha pour voir, et se fit vivement réprimander par le Tauren, qui finit par marmonner quelque chose d'incompréhensible avant de sortir.

Shandra avait rejoint Glorfindel, et après avoir chaleureusement remercié tout le monde, ils commencèrent à discuter, ramenés à la réalité par la question de l'aubergiste! Glorfindel pensait à une fête, de la danse, de la joie de vivre... Bref, comme le soir de leur rencontre.

Et pourquoi pas dans trois jours? Non, c'est un peu court pour prévenir nos amis... Une semaine? Qu'en penses-tu?

Lear était triste d'apprendre qu'ils allaient se marier. Il ne comprenait pas pourquoi ces gens se précipitaient. Comme si le fait de vivre constamment dans l'urgence d'une vie vouée au combat les obligeait à ne pas se poser de question sur la réalité de leurs sentiment. Ces derniers donnaient l'impression que toutes émotions étaient forcément exacerbées. Que cela soit la haine ou l'amour.

Lear avait beau les regarder, il lui semblait qu'ils étaient vide de sens. Au biensur ils se regardaient dans le blanc des yeux (je sais pas si vous avez déjà regardé quelqu'un dans le blanc des yeux mais c'est relativement dur. Il est plus facile de regarder quelqu'un dans le noir de l'oeil) mais le probléme quand on regarde quelqu'un dans le blanc des yeux c'est qu'on ne regarde que les yeux. Le reste lui il n'est pas dans le yeux il est ailleur. DE plus les yeux sont de sacrés menteurs. On croit qu'il disent quelquechose mais si on ne prend pas garde de regarder autour de l'oeil on ne vois pas ce qu'ils veulent dire.

Là pour eux c'était le cas. Leurs yeux exprimés un amour au dessus de toute limite rien ne semblait plus beau pour leurs yeux que ce qu'ils ressentaiant l'un pour l'autre mais leurs visages marquaient déjà de signe de lassitude. Comme si la soudaineté de ce qu'ils ressentaient avait sublimé leurs sensations psychologique ùais que leurs corps se rappelaient l'étrange vérité de leur amour qui n'en était pas forcément un.

Lear fit alors l'amalgame avec l'amour de Titoc et de Butterfly. Il n'avait jamais rencontré cette dernière mais les rare fois où il avait croisé Titoc entrain de penser à sa dulciné il avait vu sur le visage du gnome un sentiment de plénitude. Ce dernier affiché l'étrange bonheur de se savoir aimé. De savoir qu'un amour véritable se construisait sur dela pierre avec du temps et de la patience. Ilavait hate d'assister à leurs mariage à ces deux là.

Puis Lear se dis qu'il fallait arreter de se prendre la tête avec ce sujet. Après tout si ces deux là veulent inaugurer le premier divorce de ce monde bien leur en prennent. Puis Lear s'approche de Imdeo

-" Je dois vous avouer que je ne connais pas les lutins de la forêt de Biotygnolle. Pour ma part il s'agit d'une recette que j'ai trouvé seul. Je pense que j'ai du la noter quelque part. attendait que je la trouve."

Lear se mis à fouiller dans sa poche. Puis il en sorti une imposante bibliothéque. Un meuble magnifique en chéne ouvragé avec soins. Les deux vitres serti dans les portes mettaient magnifiquement en valeur les nombreux ouvrages reférencé dans cette dernière

-" voyons où l'ai je mis .... Ah là voila ... Lear sorti un minuscule receuil de feuille. Ce livre dénotait franchement avec le reste des ouvrages de la bibliothéque mais Lear semblait en prendre le plus grand soins comme si il s'agissait de la plus noble de toute les reliques Voila Je pense que vous devriez trouver votre bonheur là dedans sieur elfes.

Puis Lear, comme si il sétait s'agis de la chose la plus naturelle du monde rangea la bibliothéque dans sa poche

Shandra ressentit un léger picotement au niveau de la nuque. Elle se détourna pour voir qui pouvait bien la fixer ainsi, et croisa le regard de Lear. Son expression lui causa un profond malaise : il semblait avoir deviné quelque chose... Et que ce soit le seul qui n'ait pas l'air de se réjouir de l'annonce de Glorfindel la préoccupait plus qu'elle n'aurait voulu se l'avouer. Lear n'était pas fou, non. Peut-être était-t-il même la seule personne sensée en ces lieux...

Le doux murmure de Glorfindel à son oreille la ramena à la réalité. Elle mit quelques secondes avant de bien en saisir la signification et eut du mal à retenir un sursaut d'étonnement.

- Une semaine ? Mais... n'est-ce pas un peu précipité ?

Ce fut au tour de l'elfe de trésaillir. Une lueur d'inquiétude traversa ses yeux.

- Précipité ? Pourtant je croyais...

- Non, non. Une semaine, ce sera parfait ! se hâta-t-elle d'assurer. C'est juste que...tout est arrivé si vite! J'ai encore du mal à réaliser.

Glorfindel ne remarqua pas la légère faille dans sa voix et se pencha pour lui déposer un léger baiser sur les lèvres.

- Moi aussi. C'est pour ça que je désire toujours t'avoir auprès de moi : pour m'assurer que tout ceci n'est pas un rêve dont je m'éveillerais pour me découvrir de nouveau seul.

Quelle sensation étrange... alors même qu'il l'attirait contre lui, un bras passé autour de la taille, elle le voyait s'éloigner... mais n'était-ce pas plutôt elle qui s'éloignait de lui ? Un brouillard sombre s'élevait entre eux, effaçant peu à peu leurs silhouettes...

Shandra dut faire un effort immense pour s'arracher à ces songes peu réjouissants. Elle aimait Glorfindel de tout son coeur, de toute son âme. Ca, elle le savait. Mais était-ce suffisant ?

Elle lui adressa un sourire légèrement tremblant.

- Je suis un peu fatiguée...

Aussitôt, il alla subtiliser la clef de cuivre que Zoncko avait laissée sur le comptoir.

- Qu'à cela ne tienne ! Et cette fois-ci, nous allons passer par la porte !

Si mal à l'aise qu'elle fut, elle ne put retenir un rire spontané à ces mots. Et Glorfindel l'entraîna prestement vers les escaliers.