... Je pense qu’il ne faut pas faire l’amalgame entre le statut d’empoisonnement ou « d’empoisonneur » et l’acte d’Assassinat, même s’il faut convenir que les deux sont parfois, voir très souvent, liés.
Le poison affaiblit avant tout les capacités de l’autre. Il n’est que très rarement lié à une mort, sauf pour celles et ceux qui arrivent à exceller dans ce domaine et qui l’utilisent comme une arme : l’assassin empoisonneur.
Et c’est dans ce sens qu’il faudrait peut-être creuser avec des poisons de natures différentes et qui ne touchent pas simplement la vitalité, mais les compétences aussi (PM, DEXT, PF).
Je pense même que l’assassin n’est pas forcément un empoisonneur et l’empoisonnement ne devrait peut-être pas être considéré comme un acte forcément meurtrier. Certains poisons, comme les maladies ou certaines pollutions si elles peuvent être contrôlées ou simplement véhiculées ajouterait au plaisir RP de ce jeu en ouvrant la piste de nouvelles psychologies de personnage, voir de communautés. L'empoisonnement environnemental est aussi une piste à explorer...
Bref, pour rester dans le sujet, l'empoisonnement, qu’il soit de droit commun (affectif – brigandage), d’ordre politique via une action symbolique, d’acte géo-stratégique guerrier ou simplement lié aux outils d’un soigneur, meurtrier ou négligeant, se devrait d’être logiquement mis en valeur par l’apparition d’un nom au final sur une victime… surtout si l’acte de mort est avéré «par empoisonnement».
Techniquement, rien empêche de décider communément que cela revienne au dernier « empoisonnement », comme on considère déjà qu’une mort revient au dernier frappeur.
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