Jeune et inexpérimenté Redan,
Votre mémoire, il me semble, vous fait défaut ou n’avez simplement pas toutes les données. L’Alliance ne se serait jamais permise d’attaquer une quelconque demeure dont ses habitants auraient abandonné la bâtisse et renié la horde comme les XII.
D’ailleurs, lorsque nous lisons votre maxime, nulle personne sensée ne peut penser un instant que cela soit vrai :
Citer:
[(19)] Le Palais abbandoné du clan [XII] a été détruit par [humain (33)] [ROI] Venom
Pour s’en convaincre, il suffit de lire le seul mot qui se voudrait outrageux à l’égard des ROI, défenseurs indéfectibles de l’Alliance, s’il avait été correctement orthographié : abbandoné.
Mais voilà… Il n’en est rien. Certains s’amusent et font des cache-cache ou autres gueuseries dans des palais vides, alors que les ROI, en tant que membres du comité de salut public, ne faisaient rien d’autres que de nettoyer et remettre à neuf cette bâtisse du clan XII.
Mais c’était sans compter sur les architectes qui ont bâti la demeure et élaboré les plans : les escaliers étaient branlants, les fondations instables, les planchers étaient moisis par l’eau qui se déversaient des toits dont seules les charpentes étaient visibles en bien des endroits. Et encore, vous n’aviez sans doute pas vu les murs qui s’effritaient…
Comment aurions-nous pu sauver cette demeure… ? Nous avons cherché des alternatives, longtemps, mais la seule solution viable que nous ayons trouvée a été la destruction pure et simple du palais. Car oui, nous autres ROI pensons avant tout à ce qu’il se passerait si un pauvre petit nenfant hordeux se baladait dans les combles, recevait un parpaing sur la tête et mourrait. Ce serait là une horrible tragédie ne pensez-vous pas ?
Vous pourriez donc être reconnaissant et nous remercier pour cet ouvrage de bienfaisance. D’autant que, nous tenons à le souligner puisque certains remettent en cause notre travail, tous les frais afférents à cette démolition furent pris en charge par les ROI et le terrain est à présent débarrassé de la vermine et la crasse qui y régnait jusqu’alors.
Sire